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Ansil
.RAMSESXII. a écrit :

Il a levé les mains en l'air et en a perdu son pantalon qui s'est retrouvé sur ses chevilles, alors qu'il terminait de faire ses besoins.

Atil
C'est bizarre : J'ai mal au dos.
TaoTheKing
Trump a écrit :

Alors, ce sera 20 coups de fouets.


Trump
Alors, ce sera 20 coups de fouets.
TaoTheKing
Mince... tu vas avoir des crampes avec moi.
Atil
Je vais rajouter un paragraphe au règlement du forum :

Désormais tous les êtres supérieurs présents dans ce forum recevront 10 coups de fouet.
TaoTheKing
franchement Atil, quand j'ai proposé qu'il pissait, j'étais très près.

De toute façon, tu n'aimes pas les êtres supérieurs.
Atil
L'image illustre trés bien les explications
.RAMSESXII.
Atil a écrit :

.RAMSESXII. a trouvé la bonne réponse !

Il gagne ... à être connu


Vous avez été fort aimable A-t-il sur cette énigme, puisque l'anecdote a inspiré une scène de film avec un Polonais qui sort des toilettes et tombe sur les 2 protagonistes principaux (2 des 3 du moins) du film La Haine de Mathieu Kassovitz (Hate en Anglais), et ce monsieur relate cette tragédie à peu près en ces termes :

- J'avais un ami qui s'appelait Gonvalsky.
On était prisonniers dans un Goulag et lors d'un déplacement par train - wagons à bestiaux - le train a fait une pause pour que les forçats puissent aller faire leur besoin dans la nature.
Mais Gonvalsky, qui était pudique, s'était fort éloigné pour satisfaire l'impératif en question.
ET, quand il termina son affaire, le train avançait déjà pour reprendre son voyage.
"A chaque fois que Gonvalsky (conté avec l'accent polonais ou du moins d'un pays de l'Est) tendait la main pour monter dans le train, il lâchait son pantalon et celui-ci tombait à ses pieds ce qui l'empêchait de monter dans le train".

Sur cela, le Polonais cherche la sortie des toilettes, placidement.

Vincent Cassel et son acolyte lui demandeNT ce qu'il arriva ensuite à son compagnon dont le pantalon tombait chaque fois qu'il tentait de saisir le train.

Et le polonais de répondre :

"Gonvalsky, Il est mort... de Froid".

C'était l'hiver, entre deux goulags de Russie, la Sibérie enneigée pour horizon.

Ne comprenant point la raison qui avait poussé l'ancien prisonnier politique polonais a leur adresser la parole, et surtout à leur raconter l'intime de sa vie sur une portion pour le moins macabre si ce n'est pathétique, les deux comparses amis d'enfance, frères de sang puisque ayant grandi dans une cité dortoir de France, se regardèrent, interloqués, muets.










CopylefT Rameses XII > XIII, An O . : .




.




iti


Edité le 29-03-2019 à 12:20:11 par .RAMSESXII.


Atil
.RAMSESXII. a trouvé la bonne réponse !

Il gagne ... à être connu
 
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