Sujet : Je suis fatiguée !...... |
|  Posté le 29-10-2011 à 14:27:14
| Je suis fatiguée . J'ai 70 ans. J'ai travaillé, à l'école ;réussi ma carrière sans l'aide de mes parents ;,fille d'ouvriers et je n'en n'ai pas honte; mais je m'aperçois que tout va de travers de plus en plus chaque jour
> Les semaines de travail étaient longues sans 35 heures ni RTT ;c’était comme ça ; on s'en plaignait pas vraiment. Je n'ai pas hérité de biens substantiels ;
Ma position professionnelle et sociale ne m'a pas été donnée non plus ; j'ai travaillé pour ça.
. Au soir de ma vie, Je suis fatiguée.
Je suis fatiguée de m'entendre dire que je dois partager ce que j'ai avec
des gens qui n'ont pas mon honnêteté
Fatiguée de constater qu'en permanence nos gouvernements,de quelque bord qu'ils soient, me prennent de l'argent pour donner à des gens trop paresseux pour travailler, .
Bien sûr je veux bien aider ceux que le sort a brutalement frappés : chômage, maladie grave. .
Mais ce n'est pas le cas de la majorité des personnes concernées.
Je suis fatiguée de m'entendre rappeler combien la France va mal, par la faute bien sûr de la droite, et aussi des socialistes (ou apparentés) millionnaires comme Mrs Fabius, Strauss-Kahn (avant la chute), Noah, Berger,
Mmes Bouquet, Balasko etc..fatiguée de recevoir des leçons des mêmes, qui appellent de leurs voix une France ouverte à tous alors que tant d'entre eux résident à l'étranger pour ne pas payer leurs impôts en France.
Dans 20 ans ou 30 ans, si on continue à les suivre comme on le fait déjà, Nous aurons l'économie d'un pays sous développé,
La liberté de la presse de la Chine, La violence du Mexique, Et la même intolérance que l'Iran.
>Je suis fatiguée du comportement hégémonique Des syndicats qui ne représentent pas grand monde mais n'hésitent pas à paralyser tout Le pays pour satisfaire Des intérêts purement corporatistes, pour beaucoup hors du temps, sans strictement aucun souci du bien de la collectivité.
> Je suis fatiguée que notre tolérance vis à vis des autres cultures nous amène à considérer comme normal que l'Arabie Saoudite finance chez nous des mosquées, où l'on prêche la haine de l'Occident, avec les subsides qu'elle tire du pétrole, alors qu'elle proscrit sur son Sol la construction d'églises et synagogues.
> Je suis fatiguée d'entendre à longueur de temps que je dois diminuer mes émissions de CO2 parce que c'est «bon pour la planète», alors que la Chine inaugure deux à trois centrales thermiques par semaine, .
> Je suis fatiguée de m'entendre dire que notre tradition d'asile nous oblige à accepter tous les miséreux de la planète et à payer pour eux, même quand ils sont clandestins ou n'ont jamais travaillé ni cotisé un centime chez nous ;
> Et je suis encore plus fatiguée de constater que nos personnages politiques, de droite comme de gauche, trouvent apparemment ça très bien puisqu'ils ne font rien pour y remédier quand ils sont au pouvoir, ou approuvent quand ils sont dans l'opposition.
Je suis fatiguée des Français je crois ; prétentieux, donneurs de leçons, égoïstes, assez lâches et finalement pas sérieux..
Fatiguée de devoir payer des impôts fonciers largement augmentés alors qu'on s'est privé pour payer notre maison et maintenant on paye un loyer pour l 'état !
> Je suis heureuse d'avoir 70 ans. Je ne verrai pas le Monde que nous préparons consciencieusement par veulerie. Mais je plains sincèrement mes descendants.
Et si vous pensez comme moi alors envoyez ce texte à tous ceux qui pensent comme nous Une grand mère indignée !!
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Je fais suivre ......c'est trop vrai  |
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| Posté le 30-10-2011 à 10:31:22
| | Le texte initial disait de voter pour qui ? |
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| Posté le 30-10-2011 à 12:43:03
| | Ce texte dit : je ne comprends pas le monde... |
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| Posté le 30-10-2011 à 19:17:04
| Ce qu'eprouve Papy 39 ou mamy 39, nous l'eprouvons tous a quelque moment.
Losque cela m'arrive je me rappelle que mon pere , comme mon grand pere, avouaient parfois ne pas bien comprendre le monde. Il est vrai que l'un comme l'autre ont connu la guerre. Alors j'essaie de faire rire mes amis , ou je les ecoute. Alors ils se mettent aussi a sourire et a dire quelques conneries qui defoulent. Ensuite dans ma vie de tous les jours je fais ce que je peux. Mais sais tu que faire ce qu'on peut, c'est pour Tristan Bernard la definition .......du heros.  courage |
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| Posté le 30-10-2011 à 19:44:29
| | Faire ce qu'on peut, c'est faire ce que l'on doit. |
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| Posté le 31-10-2011 à 10:30:47
| C'est quoi "devoir" faire ?
Qui décide de ce devoir ? |
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| Posté le 31-10-2011 à 13:22:34
| je dirai plutôt faire ce que l'on doit c'est ce que l'on veut.
A méditer plus longuement que de se laisser émotionner par cette phrase |
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| Posté le 31-10-2011 à 15:20:55
| Atil a écrit :
C'est quoi "devoir" faire ?
Qui décide de ce devoir ? |
Ce point meriterait un sujet pour lui tout seul. |
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| Posté le 31-10-2011 à 16:28:52
| brazali a écrit :
je dirai plutôt faire ce que l'on doit c'est ce que l'on veut.
A méditer plus longuement que de se laisser émotionner par cette phrase |
je maintiens en toute connaissance de cause.
Faire ce que l'on peut, c'est faire ce que l'on doit. |
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| Posté le 31-10-2011 à 18:17:28
| "Faire ce que l'on peut, c'est faire ce que l'on doit. "
il est sur que faire vraiment tout ce que l'on peut, ce peut être repousser tres loin les limites du possible. |
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| Posté le 01-11-2011 à 00:31:47
| | Brazzali aurait pu dire, "ok, mais le doit on se le met où?". |
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| Posté le 01-11-2011 à 11:18:03
| Mais chez les Grecs bien entendu. Il parait que Papandreou le roi grec troisième du nom après son grand-père et son père, en a une forte et puissante et nous demandons que de la sentir passer comme nous y encourage Martine. Quelle jouissance !
Jeudi dernier, j'ai rencontré pour la première fois les autres grands parents (professeurs retraités) de mon premier et unique petit-fils agé de 4 semaines dans une maison ,modeste pour l'Allemagne dans une ville importante vers Hambourg, à 50km de la Mer du Nord. Je ne parle pas du tout allemand et lui pas du tout français. A un moment où nos enfants au moins trilingues étaient absents de la salle, je lui ai demandé en anglais ce qu'il pensait de l'accord de réduction de la dette grecque. Il n'a fait que répéter ce mot "robbery !" "roberry !". Cela promet !
Ceux qui ont laissé espérer aux grecs qu'il pourrait s'en tirer comme toujours en faisant du cinéma et en faisant pleurer dans les chaumières, sont bien coupables.
Edité le 01-11-2011 à 11:28:46 par thersite
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| Posté le 01-11-2011 à 11:20:40
| j'avais oublier un mot
faire ce que l'on doit c'est faire ce que l'on veut |
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| Posté le 01-11-2011 à 11:30:11
| brazali a écrit :
j'avais oublier un mot
faire ce que l'on doit c'est faire ce que l'on veut |
et ne pas payer ses dettes, quand cela vous arrange.
A tous les gens qui sous l'emprise de la campagne médiatique et des sondages truqués, s'étonnaient que je disais déjà plusieurs mois avant, pourquoi je voterai contre le traité de Maestricht, je leur prédisais l'impasse actuel.
Il est certain que la Grèce, non seulement par le caractère de sa population, mais aussi par sa géographie très découpée et isolée et son économie beaucoup basée sur des activités maritimes très cycliques, étaient structurellement inflationnistes donc peu capable de maintenir sa compétitivité vis-à-vis d'autres pays comme l'Allemagne, les Pays-Bas (et mème la France sans les 35 heures qui nous ruinent).
Pourquoi se sont-ils acharnés à entrer dans l'Euro, il y a là certainement une histoire souterraine et occulte encore à écrire, comme beaucoup de choses qui tournent autour de l'Euro.
i
Edité le 01-11-2011 à 11:41:24 par thersite
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| Posté le 01-11-2011 à 11:42:03
| TaoTheKing a écrit :
Faire ce que l'on peut, c'est faire ce que l'on doit. |
Et si je n'arrive pas à faire ce que je devais faire ?
N'ai-je pas pu alors que je devais ? |
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| Posté le 01-11-2011 à 11:43:16
| brazali a écrit :
je dirai plutôt faire ce que l'on doit c'est ce que l'on veut.
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Souvent on doit faire des choses qu'on ne voudrait pas faire. |
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| Posté le 01-11-2011 à 12:55:36
| Atil a écrit :
Et si je n'arrive pas à faire ce que je devais faire ?
N'ai-je pas pu alors que je devais ? |
Il ne s'agit pas de devoir, mais de pouvoir. |
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| Posté le 01-11-2011 à 13:37:06
| | Donc ce n'est pas la même chose. |
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| Posté le 01-11-2011 à 13:56:54
| | Un tenon entre dans une mortaise, et pourtant ce n'est pas la même chose. |
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| Posté le 01-11-2011 à 22:40:47
| | et tenon nous le pour dit |
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| Posté le 02-11-2011 à 00:58:52
| Au moi de juillet dernier,j'ai hébergé quelques temps le fils d'une amie russe qui est étudiant dans les langues et qui parle couramment grec et y a vécu ces 5 dernières années avant de vivre quelques moi aux USA avec sa mère et qui maintenant étudie en France, c'est garçon posé et très intelligent, et lorsque j'ai parlé de la crise grecque avec lui, il m'a expliqué comment pensaient les grecs : ils pensent qu'ils ne paieront pas et qu'ils peuvent tout continuer comme avant et que l'Europe doit les aider sans contre partie, à la lumière des ses informations directes, la seule issue m'a paru être une sortie de la Grèce de la zone euro, malheureusement j'ai raison.
Si vous regardez les schémas de la rentabilité au travail, vous verrez en premier les belges suivi de très près par les français et les norvégiens et complètement en dernier ce sont les grecs et loin derrière les turcs au même niveau que les bulgares.
Nous sommes aussi champion pour la taxation et les charges sur le travail, ce qui semble annuler notre compétitivité.
Edité le 02-11-2011 à 01:02:12 par martiko
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| Posté le 02-11-2011 à 01:02:53
| brazali a écrit :
et tenon nous le pour dit |
j'en suis mortaisifier! |
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| Posté le 02-11-2011 à 11:58:17
| martiko a écrit :
Au moi de juillet dernier,j'ai hébergé quelques temps le fils d'une amie russe qui est étudiant dans les langues et qui parle couramment grec et y a vécu ces 5 dernières années avant de vivre quelques moi aux USA avec sa mère et qui maintenant étudie en France, c'est garçon posé et très intelligent, et lorsque j'ai parlé de la crise grecque avec lui, il m'a expliqué comment pensaient les grecs : ils pensent qu'ils ne paieront pas et qu'ils peuvent tout continuer comme avant et que l'Europe doit les aider sans contre partie, à la lumière des ses informations directes, la seule issue m'a paru être une sortie de la Grèce de la zone euro, malheureusement j'ai raison.
Si vous regardez les schémas de la rentabilité au travail, vous verrez en premier les belges suivi de très près par les français et les norvégiens et complètement en dernier ce sont les grecs et loin derrière les turcs au même niveau que les bulgares.
Nous sommes aussi champion pour la taxation et les charges sur le travail, ce qui semble annuler notre compétitivité. |
Je rejoins ton debut d'explication, moins l'histoire du rendement. En Grece il y a en effet tellement de travail noir qu'il est difficile d'evaluer l'efficacite reelle qui n'etait pas si faible il y a encore quelques années. Jusqu'en 2000 en effet, ils produisaient beaucoup de vetements textiles, et de peaux et fourrures.
Cette industrie s'est faite manger par la concurrence de pays plus pauvres.
En resume le principal reproche que je fais aux grecs c'est qu'ils sont bien peu civiques, et que l'etat s' etouffe du manque d'impots.
Autre sujet peu abordé: L'armee grecque est importante. Ils n'ont pas des voisins si rassurants. Donc si quelques regiments europeens stationnaient en Grece , ce pays pourrait faire de grosses economies sur sa defense, et l'Europe signifierait quelque chose. |
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| Posté le 03-11-2011 à 09:42:07
| | Et si la Turquie finissait par faire partie de l'Europe ? |
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| Posté le 03-11-2011 à 15:42:31
| Atil a écrit :
Et si la Turquie finissait par faire partie de l'Europe ? |
Impossible c'est la porte ouverte ......et pourquoi pas le tour de la méditerranée ou et l'Europe ?.....puis pourquoi pas tout le contient Européen ?...... |
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| Posté le 03-11-2011 à 16:29:04
| la méditerranée comme un lac dans une entité communautaire.  |
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| Posté le 03-11-2011 à 22:29:40
| | la Turquie n'a pas sa place en Europe, et pourquoi pas le Cameroun. |
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| Posté le 03-11-2011 à 22:33:29
| | donc si les grecs ont l'énergie pour travailler au noir c'est qu'il ne font rien dans leurs postes de fonction publique la plus impotante d'Europe, on a pas oublié les incendie en Grèce où les pompiers n'étaient pas à leur poste, ça m'avait étonné à l'époque mais plus maintenant. |
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