Sujet :

VIEILLIR EN SANTÉ… JUSQU’À 1 000 ANS?

Trump
   Posté le 13-10-2017 à 04:36:01   

VIEILLIR EN SANTÉ… JUSQU’À 1 000 ANS?
PAR FRÉDÉRIC PERRONMise en ligne : 11 octobre 2017
Shutterstock.com








Selon le gérontologue biomédical Aubrey de Grey, de nouvelles thérapies permettront bientôt d’augmenter la longévité de l’humain de façon exponentielle.
Visionnaire ou savant fou? On peut se poser la question quand Aubrey de Grey, un célèbre chercheur spécialisé dans le vieillissement, affirme que le premier être humain qui vivra 1 000 ans est sans doute déjà au monde.
Le scientifique était invité à une conférence sur le futur de la santé, organisée par TechnoMontréal et présentée mardi dans le Vieux-Montréal. Selon lui, la plupart des maladies liées au vieillissement sont des conséquences néfastes de notre métabolisme. Par exemple, au fil du temps, certaines cellules cessent de se reproduire; d’autres, au contraire, se reproduisent de façon désordonnée.
D’après le chercheur, dans un futur rapproché, des «entretiens préventifs» tout au long de notre vie nous permettront de vieillir longtemps et en santé. Il pourrait s’agir de remplacer des organes ou des cellules du corps, notamment grâce à l’implantation de cellules souches, une thérapie déjà à l’étude pour traiter la maladie de Parkinson et pour remplacer le thymus, un organe qui joue un rôle important dans le système immunitaire.
Selon Aubrey de Grey, une première vague de traitements (quand ils seront au point) pourrait permettre à une personne de vivre 30 ans de plus, par exemple. Une deuxième vague, administrée 30 ans plus tard, lui permettrait de vivre 60 ans de plus grâce à des thérapies encore plus avancées. Et ainsi de suite, au fil des progrès scientifiques… et tant que la personne ne se fait pas happer par un autobus!
>> À lire aussi : conseils pour vieillir en santé
Oui, mais…
Avec sa vision pour le moins optimiste de la longévité humaine, Aubrey de Grey pourrait passer pour un hérétique dans la communauté scientifique. Or, ce n’est pas tout à fait le cas. Il est invité dans le cadre de nombreuses conférences internationales, et sa fondation de recherche SENS est soutenue par un solide conseil consultatif scientifique.
N’empêche que sa vision soulève de nombreuses questions. Si l’humain vivait des centaines d’années, n’aurions-nous pas des problèmes de surpopulation? L’accès aux traitements serait-il universel? Ne risquons-nous pas de mourir d’ennui plutôt que de la maladie?
«Ces questionnements sont valables, mais il faut quand même s’attaquer au problème, dit-il. Chaque jour, plus de 100 000 personnes décèdent de maladies liées au vieillissement. C’est notre devoir face aux générations futures de développer des thérapies. Le choix leur appartiendra ensuite de les utiliser ou pas.»
D’ici là, les conseils habituels s’appliquent: bougez, cessez de fumer et mangez sainement!
Atil
   Posté le 13-10-2017 à 10:19:05   

Je me pose une question :
Quel serait l'état psychologique d'une personne qui aurait 1000 ans et serait en bonne santé ?
Ne risquerait-elle ps d'être blasée et de ne plus avoir goût à rien ?

Finalement, la théorie de la réincarnation, ce n'est pas si mal : On réinitialise notre mémoire et on a alors le plaisir de tout redécouvrir.
atilouse
   Posté le 13-10-2017 à 12:51:40   

VIEILLIR EN SANTÉ… JUSQU’À 1 000 ANS?
PAR FRÉDÉRIC PERRONMise en ligne : 11 octobre 2017
Shutterstock.com

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En tout cas à Montréal, les hopitaux et les urgences aident plutot les malades à écourter leur vie.

Ce qui est par contre vrai et juste, les chinois le font deja beaucoup, c'est l'utilisation de cellules souche pour regénérer les organes.
Ansil
   Posté le 12-02-2020 à 23:22:11   

Trump a écrit :

VIEILLIR EN SANTÉ… JUSQU’À 1 000 ANS?

Si telle chose arrivait il ne faudrait plus se reproduire.
Si 1000 ans de vie possible par des régénérations de cellules, alors pourquoi pas plus ? Vie jusqu'à ce que notre terre soit engloutie par notre soleil... Ah, mais, certes, avec une telle longévité, les humains parviendraient à déménager sur un autre astre viable.
J'avais lu un petit roman de science fiction sur ce sujet (me rappelle plus ni le titre ni l'auteur). Vie théoriquement éternelle car plus de maladies, plus de vieillissement... Ah mais !... la mort accidentelle restait possible.
Si, par exemple, un véhicule rapide volant explosait en plein vol. Une personne réduite en miettes ou en poussière ne peut pas être rénovée, elle est bel et bien morte.
Le groupe initial devait rester sur le même nombre bien établi d'individus, chacun sa tache et indispensable à l'ensemble, pas de surpopulation, juste ce qu'il faut. En cas de décès (rare) un enfant était alors créé par fécondation artificielle, l'embryon puis le fœtus se développait dans une bulle artificielle, pas dans un utérus.
À terme, il était placé dans un autre lieu protégé où il grandissait. Là, le savoir lui était inculqué directement dans le cerveau sans qu'il ait à bûcher pour apprendre. Un savoir phénoménal, soit toute la science possédée par les autres (les vieux), l'histoire de l'humanité, leurs technologies...
Ansil
   Posté le 12-02-2020 à 23:41:05   

Atil a écrit :

Je me pose une question :
Quel serait l'état psychologique d'une personne qui aurait 1000 ans et serait en bonne santé ?
Ne risquerait-elle ps d'être blasée et de ne plus avoir goût à rien ?

Je pense que, dans la mesure où il y aurait des décès accidentels, ça serait particulièrement atroce de perdre un proche aimé depuis des siècles. Et particulièrement enrageant puisque théoriquement la personne devait être éternelle. Pour ça, l'oubli, au moins l'oubli de l'attachement, serait nécessaire, il y aurait sans doute le moyen d'envoyer des ondes d'apaisement au cerveau.
Quant à ne plus avoir goût à rien, peut-être pas s'il y a voyages interplanétaires avec des découvertes infinies...
Atil
   Posté le 13-02-2020 à 09:45:14   

Ansil a écrit :


Si telle chose arrivait il ne faudrait plus se reproduire.
Si 1000 ans de vie possible par des régénérations de cellules, alors pourquoi pas plus ? Vie jusqu'à ce que notre terre soit engloutie par notre soleil... Ah, mais, certes, avec une telle longévité, les humains parviendraient à déménager sur un autre astre viable.
J'avais lu un petit roman de science fiction sur ce sujet (me rappelle plus ni le titre ni l'auteur). Vie théoriquement éternelle car plus de maladies, plus de vieillissement... Ah mais !... la mort accidentelle restait possible.
Si, par exemple, un véhicule rapide volant explosait en plein vol. Une personne réduite en miettes ou en poussière ne peut pas être rénovée, elle est bel et bien morte.
Le groupe initial devait rester sur le même nombre bien établi d'individus, chacun sa tache et indispensable à l'ensemble, pas de surpopulation, juste ce qu'il faut. En cas de décès (rare) un enfant était alors créé par fécondation artificielle, l'embryon puis le fœtus se développait dans une bulle artificielle, pas dans un utérus.
À terme, il était placé dans un autre lieu protégé où il grandissait. Là, le savoir lui était inculqué directement dans le cerveau sans qu'il ait à bûcher pour apprendre. Un savoir phénoménal, soit toute la science possédée par les autres (les vieux), l'histoire de l'humanité, leurs technologies...



Ce serait une société sans inventivité, sans créativité. Incapable de créer de nouvelles idées, de nouveaux styles artistiques, des philosophies inédites.
Des gens intelligents... mais non-réellement renouvelables, toujours semblables à eux-mêmes. Un monde figé.


Edité le 13-02-2020 à 09:45:39 par Atil


Ansil
   Posté le 13-02-2020 à 10:59:47   

https://www.youtube.com/watch?v=E9xgdEdSpOM
Ansil
   Posté le 13-02-2020 à 12:43:52   

Atil a écrit :

Ce serait une société sans inventivité, sans créativité. Incapable de créer de nouvelles idées, de nouveaux styles artistiques, des philosophies inédites.
Des gens intelligents... mais non-réellement renouvelables, toujours semblables à eux-mêmes. Un monde figé.

Peut-être mais, en même temps, la majorité des gens voudrait ne jamais mourir.
S'il n'y a plus rien après la mort (du corps), pas d'au-delà, pas de paradis, pas de réincarnation possible, que c'est une certitude... et que le choix t'est donné entre vivre jusqu'à tes 100 ans, voire 120, ou l'éternité et en parfaite santé, tu choisirais quoi ?


Edité le 13-02-2020 à 12:44:48 par Ansil


Trump
   Posté le 13-02-2020 à 18:35:31   

Vivre jusqu’à mille ans serait un choix, pas une obligation. L'humain a toujours été très inventifs pour développer des technologies.
Atil
   Posté le 13-02-2020 à 23:50:59   

Parfois un film marche trés bien.
Alors on en fait une suite, ... puis une autre suite...puis encore une autre, etc...
Et ça devient du rabachage, c'est du réchauffé, et ça perd de son intéret.
Quand on a fait tout le tour d'une chose et qu'on en a appris tout ce qu'il y avait à en apprendre alors on passe à autre chose. Sinon on s'ennuie.

Vivre trés longtemps ne serait intéressant que si on pouvait changer du tout au tout afin de voir les choses d'un autre oeil.
Devenir grand ou petit, gros ou mince, fort ou faible, beau ou moche, changer de sexe, etc...
Sinon on finit par se répéter soi-même, par vivre une routine, par devenir une caricature de soi-même.
... Devenir un "vieux con".
Ansil
   Posté le 14-02-2020 à 10:06:02   

Trump a écrit :

Vivre jusqu’à mille ans serait un choix, pas une obligation. L'humain a toujours été très inventifs pour développer des technologies.

Pourquoi précisément mille ans ? S'il devient possible de régénérer les cellules cela devait être sur une durée illimitée. Cela consisterait à passer régulièrement sous, par exemple, des rayons revitalisants, rajeunissants. Traitement rapide, non douloureux, à pratiquer une fois par an, admettons.
Il serait étonnant que certaines personnes décident de ne plus le faire, se condamner alors à la dégénérescence ou demanderaient l'euthanasie.
Ansil
   Posté le 14-02-2020 à 11:08:11   

Atil a écrit :

Vivre trés longtemps ne serait intéressant que si on pouvait changer du tout au tout afin de voir les choses d'un autre oeil.
Devenir grand ou petit, gros ou mince, fort ou faible, beau ou moche, changer de sexe, etc...
Sinon on finit par se répéter soi-même, par vivre une routine, par devenir une caricature de soi-même.
... Devenir un "vieux con".

Toi, c'est l'idée (l'espoir ?) de la réincarnation qui te séduit. Certes, si c'est une réalité, l'avantage est qu'alors la mort n'existe pas. Mais l'idée de renaître, redevenir un bébé ne me tente pas du tout. Tomber, peut-être, dans une sale famille...Naître pour devenir une personne obèse, ah non merci ! Je ne le dis par mépris des gros mais parce que l'être est une grande souffrance et c'est handicapant. Pas envie, non plus, de renaître avec un autre type de handicap grave.
On peut tirer partie des erreurs de sa jeunesse si on les admet, les prendre en tant que leçons, ne pas les reproduire. Ceux qui tournent à la caricature "d'eux-mêmes" sont ceux qui n'ont pas admis leurs torts et, de fait, n'ont pas évolué.
Sans me vanter, parce que c'est vrai et que je m'en rends compte, j'ai beaucoup évolué depuis ma jeunesse. Tout le temps. J'ai changé de caractère et en me rappelant certains faits passés je ne me comprends même pas, comment j'ai pu agir ou réagir comme je l'ai fait quelquefois, aujourd'hui ça me dépasse complètement.
Alors, bon, je veux bien renaître si, d'office, dans l'inné, je me trouve avec des qualités acquises dans cette vie-ci. Il m'épate de voir certains jeunes avec une personnalité très mûre, sage, cool, grâcieuse, gentille, rayonnante...
Atil
   Posté le 14-02-2020 à 11:31:27   

La réincarnation implique que l'on pourrait à chaque fois apprendre des choses avec un cerveau différent, donc en usant d'un autre regard.
Dans cette vie j'ai appris à dessiner car je suis doué pour le dessin, mais je n'ai pas appris la musique car je ne suis pas doué pour la musique. dans une autre vie, avec un autre cerveau, je serai peut-être plus doué musicalement et, donc, je pourrai apprendre la musique.
La réincarnation aurait donc cet avantage.
Mais si on oublie tout de ce que l'on a appris dans ses vies précédentes, à quoi bon apprendre de nouvelles choses ?

J'ignore ce qu'il en est.
J'ignore comment tout ça fonctionne.
J'ignore à quoi tout cela sert.
J'ignore si ça vaut le coups.
Ansil
   Posté le 14-02-2020 à 20:02:41   

Atil a écrit :

Dans cette vie j'ai appris à dessiner car je suis doué pour le dessin, mais je n'ai pas appris la musique car je ne suis pas doué pour la musique.


Facilité innée. Si on prend la théorie de la réincarnation, ce que l'on apprend facilement ou, au moins, sans grande difficulté, a été expérimenté dans d'autres vies.
La musique, apprendre à jouer d'un instrument, c'est très différent du dessin et encore bien d'autres choses. L'étude d'un instrument de musique c'est très jeune ou jamais. C'est au moins le cas de l'étude du piano et du violon (et instruments approchant chacun de ces deux-là). Ce sont les deux instruments de base. C'est à dire que qui a appris à jouer ces deux-là peut théoriquement ensuite, même bien plus tard dans sa vie, apprendre n'importe quel autre instrument de musique.
C'est parce que, à force d'entrainement, le cerveau crée des connexions pour les automatismes. Ces connexions restent à vie. Mais ceci n'est possible que sur un cerveau d'enfant qui commence à s'entrainer à syncroniser les deux mains (qui jouent des choses différentes en même temps). Cela devient automatique lorsque la connexion est créée.
C'est le violon qui présente les plus grosses difficultés au début de son étude mais les connexions se forment très rapidement. Pour un petit enfant on n'a pas à exiger plus de 10mn d'entrainement par jour les premiers mois, puis on peut passer progressivement à une demi-heure, cela ne doit pas aller jusqu'à la torture d'enfant. Classiquement, l'enfant débute cette étude à l'âge de 6 ans (certains le font plus jeunes mais les écoles de musique n'acceptent pas les moins de 6 ans) et, au bout de 2 ans les connexions du cerveau sont créées. C'est alors que la suite lui est facile, apprendre des morceaux élaborés, développer l'art, jouer joli... Et c'est là qu'on voit s'il a vraiment ou pas le don de l'artiste. S'il ne l'a pas, il ne poursuivra pas car pas envie, un don commence par un goût. Ces connexions acquises auront toutefois développé son cerveau, ça sert toujours à quelque chose. Puis, s'il change d'avis à l'âge adulte, il peut reprendre, cela lui sera facile.
Pour le piano, c'est l'inverse (également à partir de 6 ans), le début est relativement facile (vite dit) car les grosses difficultés arrivent plus tard mais tout doit être appris dans l'adolescence au plus tard et c'est alors que le pianiste exprime son talent d'artiste (s'il l'a !). Ainsi un adulte, n'ayant pas appris dans l'enfance ou adolescence, peut s'initier au piano, parvenir à jouer de jolis morceaux mais jamais il ne pourra jouer Chopin, par exemple. Débuter l'appris du violon à l'âge adulte, n'en parlons pas !
Tout ça pour te dire que, si tu n'as pas appris la musique tu ne peux savoir si tu en as le don ou pas. Mais enfin, un artiste est un artiste !
Trump
   Posté le 15-02-2020 à 16:59:32   

Il y aura mille et une questions à se poser:

La vie éternelle sera t'elle disponible pour tous?

Comment contrôler les naissances?

etc etc


Edité le 15-02-2020 à 17:00:04 par Trump


Ansil
   Posté le 15-02-2020 à 20:24:37   

Trump a écrit :

La vie éternelle sera t'elle disponible pour tous?
Comment contrôler les naissances?

Sans doute réservée aux plus riches.
La stérilité doit aller avec la vie éternelle.
Atil
   Posté le 15-02-2020 à 23:49:16   

Jadis les bactéries étaient immortelles.

C'est avec l'"invention" de la reproduction sexuée que la vieillesse et la mort sont apparues.

J'ignore le lien causal exact qu'il peut y avoir entre sexualité et mortalité.
Ansil
   Posté le 16-02-2020 à 09:59:23   

Atil a écrit :

Jadis les bactéries étaient immortelles.

C'est avec l'"invention" de la reproduction sexuée que la vieillesse et la mort sont apparues.

J'ignore le lien causal exact qu'il peut y avoir entre sexualité et mortalité.

Il y a encore au moins une espèce animale "théoriquement" immortelle... Les décès étant dû à des prédateurs qui s'en régalent.
Il s'agit de la méduse. C'est médusant ! Elles se reproduisent toutefois (puisqu'elles peuvent mourir bouffées) et de façon sexuée - extérieur, sans contacts directs.
L'étoile de mer peut aussi avoir une surprenante longévité car ses branches coupées peuvent repousser à l'infini. Si la partie centrale est partiellement détruite, elle se refait aussi. Ainsi, d'un bras arraché, un individu peut se reconstituer entièrement s'il porte quelques cellules du centre...

https://vivredemain.fr/2016/03/30/meduse-lune-immortelle/

https://lireviral.com/animaux-immortels/

https://fr.busqueprofesionales.com/920-how-jellyfish-reproduce

http://www.sur-la-plage.com/articles/les-mysteres-de-l-etoile-de-mer-86.php
Atil
   Posté le 16-02-2020 à 10:10:07   

Les 1ers êtres vivants se reproduisaient ainsi : en se divisant.

Ils étaient donc tous génétiquement semblables.

Plus tard, l'apparition de la sexualité a permis de créer des mélanges génétiques.
Ansil
   Posté le 18-02-2020 à 20:16:28   

Atil a écrit :

Les 1ers êtres vivants se reproduisaient ainsi : en se divisant.

Ils étaient donc tous génétiquement semblables.

Plus tard, l'apparition de la sexualité a permis de créer des mélanges génétiques.

Oui mais ici la question n'est pas de se reproduire mais de vivre éternellement...
Atil
   Posté le 18-02-2020 à 22:52:11   

J'ignore ce qui fait que la vie éternelle a été perdue quand nous avons acquis la reproduction sexuée.
J'avais lu un article parlant de cela mais sans en donner l'explication.
Ca faisait aussi un lien avec le cancer :
Les cellules cancéreuses sont des cellules qui, en quelque sorte, retournent en enfance et deviennent immortelles.
Donc si nous arrivions à réactiver notre ancien système d'immortalité, cela risquerait en même temps d'enclencher un emballement cancéreux.
La sénescence pourrait être un système prévu, à la base, pour s'opposer à la cancérisation des cellules.