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mamy42 | Ne jamais regarde en arriere | | 171 messages postés |
| Posté le 19-12-2009 à 14:21:58
| Oui au romantisme.....La vie est si courte .... Soyons zen...
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Ase | | 5229 messages postés |
| Posté le 01-01-2010 à 17:20:49
| Pas trop quand-même. Le romantisme peut tuer...
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Milie | Disciple de la vie | 5683 messages postés |
| Posté le 03-01-2010 à 11:24:32
| Savoir modérer nos penchants par la raison, nous évites de tomber dans des excés destructeur...
-------------------- Amicalement Milie |
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Atil | | 35632 messages postés |
| Posté le 03-01-2010 à 11:38:57
| Et c'est Dalaha qui dit ca !
-------------------- ...à mon humble avis. #Atil |
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Milie | Disciple de la vie | 5683 messages postés |
| Posté le 04-01-2010 à 09:30:08
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Atil a écrit :
Et c'est Dalaha qui dit ca ! |
V'oui .... Et alors ?..
-------------------- Amicalement Milie |
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Ase | | 5229 messages postés |
| Posté le 05-01-2010 à 19:11:08
| Essayons d'aller un peu plus en avant dans cette notion de sélection de parentèle afin d'alimenter le débat. La sélection de parentèle explique que les interactions altruistes sont envisageables entre individus présentant un minimum de corrélation génétique, c’est-à-dire apparentés , pourvu que le coût de l'acte altruiste soit inférieur aux gains reproductifs qu’il procure au bénéficiaire. L'hypothèse est la suivante : supposons qu'un comportement altruiste soit codé par un seul gène et qu'un individu "a", exprime ce comportement altruiste envers un autre individu "b". Ce dernier profite d'un bénéfice B, alors que "a" se voit infliger un coût C, qui correspond à une réduction du nombre de copies du gène altruiste dans sa descendance. (En fait, coûts et bénéfices correspondent à la réduction et à l’augmentation du nombre de descendants produits respectivement par l'altruiste et par le bénéficiaire de l’acte). Mais si "a" et "b" présentent un certain degré de parenté, il est alors probable que "b" soit porteur du gène de l'altruisme. La sélection naturelle favorisera donc le comportement altruiste d'autant plus que la corrélation génétique entre les deux individus est grande et que le coût de l'acte altruiste est inférieur au bénéfice corrélé au degré de parenté. En termes plus simples, ceci se traduit par l’équation suivante : Ca < (B*b)*R(a-b) Où : C est le coût subi par le gène altruiste B est le bénéfice dont jouit le destinataire R est la corrélation génétique entre les individus qui correspond à la probabilité que le destinataire de l'acte altruiste porte aussi le gène de l'altruisme. Les interactions altruistes sont donc envisageables entre individus présentant un minimum de corrélation génétique, et donc apparentés, pourvu que le coût de l’acte soit inférieur aux gains reproductifs qu'il procure au bénéficiaire. La sélection naturelle ne fait pas la distinction entre des gènes transmis par filiation directe et ceux transmis indirectement par les individus apparentés ; le succès reproductif global d'un individu correspond alors à la somme de son succès reproductif direct et du bénéfice génétique qu’il peut tirer de la reproduction d'un parent (Aron et Passera, 2000). Ainsi, l'existence de comportements altruistes entre individus apparentés semble logique, puisqu'elle représente un avantage évolutif - certes indirect - pour l'auteur d’actes altruistes (d'autant plus que son degré de parenté avec le bénéficiaire est élevé). (extrait d'une thèse)
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