| Verdad |  | | 4252 messages postés |
|  Posté le 23-10-2005 à 08:20:43   
| Pizzdâne me taquine souvent sur ce qu'il estime être un refoulement prouvé par l'apologie que je fais de la femme en général.
Pourtant, oui. La femme est touchante par ses gestes naturellement protecteurs, maternels. La femme est attendrissante lorsque ses yeux s'embuent devant la misère du monde.
La femme est envoûtante lorsque, parée de ses plus beaux atours, elle paraît devant nous.
La femme est éloquente lorsqu'elle défend une cause qu'elle croit juste, et je ne sais par quel miracle les causes qu'une femme trouve juste le sont.
La femme est désarmante lorsqu'elle vous adresse ce regard de prière, pendant que nous, fiers coqs non dotés d'une intelligence supérieure à ce gallinacé, pensons la dominer.
Mais elle est aussi excitante lorsque son corps se met à vivre, à frémir, à vibrer, et cela quel que soit son âge, ses formes, son poids ou encore la couleur de ses cheveux.
Les belles restent belles, les laides deviennent jolies, et nous faisons pareil lorsqu'elles nous désirent.
Oui Pizzdâne! Lorsque je désire une femme, alors je la veux vraiment. Et lorsque je la possède, le temps de l'étreinte, je la prends toute, entièrement, complètement, avec une immense tendresse mais aussi avec force et virilité.
Oui Pizzdâne! J'ai gardé comme vestige de notre passé animal cet instinct passionnel qui fait de moi pas forcément un bon amant, mais un homme qui plait aux femmes, non seulement avant l'acte, mais aussi après.
J'aime les femmes. D'un amour total, inconditionnel. Viscéral.
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Le jour où je voudrais de la crotte d'âne, je saurai à quel derrière accrocher mon panier.
F. Dard |
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