| | Atil |  | | 35305 messages postés |
|  Posté le 10-07-2008 à 11:10:45    
| La facon de vivre change selon les régions.
Par exemple, la ou je vis (dans le nord de la France, à la frontière Belge) les gens recoivent fréquemment leurs amis chez eux et les invitent à prendre le café.
Une amie alsacienne qui est partie vivre dans le var m'a dit que la-bas on vivait trés différemment : les gens n'invitent personne chez eux. Quand ils veulent rencontrer leurs amis c'est au café qu'ils leurs donnent rendez-vous.
Et dans votre région, comment se comporte-t-on ?
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...à mon humble avis.
#Atil |
| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 12:35:55
| En Californie on invite les gens chez soi, bien sûr.
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#PizzaMan |
| | Atil | | | 35305 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 12:41:47
| Et à Toulouse ?
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...à mon humble avis.
#Atil |
| | Usul |  | | 986 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:10:07
| Ah oui, le savoir-vivre varois...
...c'est toute une histoire.
Je serais bien incapable de la raconter vraiment d'ailleurs, parce que j'y ai grandi, j'étais trop jeune encore pour m'en rendre compte, et puis il serait trop facile d'en faire des généralités. Ce n'est quand même pas partout pareil, ne serait-ce qu'en ville et en campagne.
Je me souviens encore à Toulon d'une lilloise qui me surprennait par sa constante bonne-humeur. Elle m'avait dit "A Lille, notre soleil à nous c'est le sourire"...
Oui...
C'est aussi qu'il faut pouvoir se l'imaginer Toulon, ville portuaire dont le centre-ville est traversé par l'autoroute. C'est pas forcément facile de se le représenter, ne serait-ce que cela. Pour comprendre il faudrait y voir les bars à putes où les militaires viennent se détendre après avoir déclenché une ou deux bagarres dans les rues et les boites de nuits.
Je me souviens d'un professeur d'histoire qui nous disait que Toulon, après les bombardements des deux guerres, les reconstructions tirant d'un côté vers l'audace, de l'autre vers le classicisme, et tout ça au milieu de grandes tours monstrueuses dans lesquelles on a ghettoïsé les travailleurs immigrés, Toulon a au moins le mérite d'être connu pour être la ville architecturalement la plus moche du monde.
Moi j'habitais juste à côté, à La Seyne sur mer. C'est la Californie du pauvre, on l'appellait La Seyngeles (à prononcer avec l'accent d'un toulonais anglophone). Depuis que les chantiers navals qui était la seule source d'emploi ont été rasés à la fin des années 80, la ville tente sans cesse de se reconvertir dans le tourisme, vendant ses terres qui sont des anciens marais et ses plages aux eaux polluées par l'industrie aux investisseurs ratés qui espèrent encore que le prix de la pierre monte.
Cela marche pourtant. Ou, du moins, tout le monde fait comme si c'était le cas. Il faut le voir pour y croire, la population se multipliant par 5 ou 6 pendant l'été, mais il faut mieux venir profiter de la mer avant, en juin par exemple, car en juillet déjà il faut commencer à avoir un sacré courage pour mettre les pieds dans l'eau.
Il y a presque 30 ans maintenant, mon père y avait acheté un grand terrain, pour une bouchée de pain, avec une maison en ruine au milieu, et tout ça un peu excentré de la ville. Ceci dit, cela aurait pu être une bonne affaire si rapidement les impots locaux n'étaient pas devenus les plus élévés de France. Mais à l'époque personne ne s'en doutaient encore, et il faut dire qu'ils ont été nombreux, rêveur comme mon père, à y acheter un terrain sans se douter que la peur du chômage allait les inquiéter bien plus encore que les pannes d'électricités et les problèmes de plomberie.
Mais j'imagine que c'est un peu toujours la même chose quand l'histoire invente de nouvelles terres d'accueil pour ses hommes affamés d'investissements, de croissance et de richesses.
D'ailleurs je me demande maintenant s'il y vivait des hommes là-bas, avant nous. Finalement en vingt ans je ne crois même pas avoir connu de Seynois. Nous y étions tous des immigrés, et nous nous battions pour savoir à qui appartenait la ville comme si cela allait de soit que nous étions plus là chez nous que les arabes qui brûlaient les voitures, ou que les parisiens qui venaient y habiter pendant l'été uniquement pour klaxonner dans les bouchons.
C'est pas étonnant que les gens ne s'invitent pas les uns chez les autres. Là-bas on ne considérait pas n'importe qui comme étant quelqu'un de confiance, et rien que pour pouvoir estimer connaître quelqu'un il fallait l'avoir fréquenté pendant des années.
Alors pour les jeunes comme moi la vie s'organisait surtout en bande et par quartier, entre amis d'enfance, seuls digne de confiance. C'était un peu "Nous contre le monde entier". Mais les bagarres étaient aussi intergénérationnelles. Les vieux n'ont jamais hésité à sortir leur fusil pour effrayer ces jeunes chômeurs, trainards et fainéants qui n'avaient pas dans le coeur l'idéal de leurs anciens.
Mon père lui aussi m'en voudra toujours de ne pas avoir comme lui investit dans l'avenir.
Quelle mascarade.
Au moins on n'avait pas besoin de grand chose pour s'amuser. C'est peut être pour cela d'ailleurs que jamais personne n'a cherché à y construire un bar sympa ou une boite de nuit. Quelques packs de bière, un banc en pierre et quelques amis, ça suffisait à passer le temps. Et lorsqu'une bande adverse venait à passer par notre territoire, ça nous faisait des histoires à raconter pour des mois entiers.
Mais sinon, quand on s'ennuyait vraiment le soir il y a avait le Luna-Park, sorte de petit parc d'attraction délabré ou les touristes n'osaient pas y mettre les pieds mais où les gitans se battaient avec les arabes et cela faisait un peu d'animation. C'était le seul endroit en tout cas où l'on pouvait y amener les filles, c'était un peu comme au cinéma, agréable de voir qu'elles se serraient contre nous pour se sentir un peu en sécurité.
Et la journée, il y avait le soleil, oui. Notre sourire à nous.
Et ceux qui ne connaissent pas la sensation que provoque le soleil sur le corps humain après avoir bu une dizaine de pastisades ne peuvent pas comprendre.
Alors oui, on se retrouvait dans les bistros, sur les terrasses, dans la rue, sur les bancs et sur les trottoirs. On se tournait vers l'avenir à notre manière, parce que inviter les gens chez nous ça aurait été leur montrer l'enfer qu'il y avait derrière.
Edité le 10-07-2008 à 14:43:27 par Usul
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| | Atil | | | 35305 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:24:29
| Un jour Usul publiera un livre !
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...à mon humble avis.
#Atil |
| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:28:59
| À Toulouse c'est pareil. Et même les étrangers sont aussi les bienvenus. On n'est pas des sauvages comme à Paris. D'ailleurs j'ai souvent considéré Toulouse comme étant la ville de la «bonne humeur». Je ne me souviens pas d'avoir rencontré des dépressifs là-bas. C'est une ville où l'on sait s'amuser, même dans le quotidien où le sens du groupe est omni-présent. On s'y sent comme chez-soi, du point de vue d'un étranger. Tandis qu'à Paris, on se sent seul.
À Toulouse, on reçoit les gens chez soi à tout moment. Mon père y vivait depuis sa naissance, avant d'être interné pour grave dépression suite à un surmenage au boulot. C'était un bon type, rêveur mais trop ambitieux. Il avait acheté notre maison après avoir eu une super promotion dans son entreprise, vers la fin des années 70. Je suis né peu de temps après. Malgré les crises économiques, les pertes de salaire, on s'en est bien tirés. Je me souviens bien, notre maison était toujours remplies de gens, des amis, des proches, de la famille. J'ai grandit là-dedans. Et ça a été un choc quand je suis devenu clodo à Paris. Sur le coup, j'ai bien eu l'impression de devenir dingue.
En Californie, ça s'est poursuivi un peu, au début. Pas d'amis, pas de copine, ou sinon ma patronne avec qui je m'entendais très bien. Elle compte énormément pour moi, avec ma tante qui m'a tiré de la merde à Paris. Ensuite je me suis fait des potes au boulot, trois bons potes avec lesquels je fais encore la bringue. J'ai rencontré mon ex-copine infirmière dans l'immeuble où j'habitais à Los Angeles, avec laquelle nous avons eu un enfant dont je n'ai pas la garde. Et puis mon amie chinoise, mon amie d'enfance avec qui je partage ma vie en ce moment.
J'ai eu un drôle de parcours, quand je revois tout ça...
Edité le 10-07-2008 à 14:30:03 par PizzaMan
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#PizzaMan |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:29:20
| Atil a écrit :
Un jour Usul publiera un livre ! |
Il sera connu pour être un livre imbuvable, comme l'eau de chez moi qu'il faut mélanger avec du pastis pour réussir à l'avaler 
Edité le 10-07-2008 à 14:39:43 par Usul
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| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:37:46
| Je confirme pour Toulouse, j'y ai passé peu de temps mais j'en garde encore ce souvenir là.
Il y a 5 ans ceci dit que j'y suis allé, mais j'étais parti 2 semaines sans connaitre personne et je n'ai jamais réussi à me retrouver seul, alors que ce serait plutôt mon genre.
J'y ai même rencontré des toulonnais avec qui j'ai sympathisé, c'est pour dire ! Toulouse je la vois comme une ville où il y traine, sans savoir pourquoi, une ambiance de plaisir et de bonne humeur.
J'ai toujours fini mes soirées en étant invité chez des inconnus pour boire un coup ou boire un café. A croire que les gens ne se méfient de personne, et pourtant il y a un paquet d'immigrés là bas aussi, plus encore que chez moi.
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:43:17
| Si tu aurais pu rester un peu plus longtemps, tu aurais expérimenté la drague. Les Toulousaines sont pas vilaines ! Héhé !
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#PizzaMan |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:48:21
| C'est peut-être ça le plus fou d'ailleurs, c'est que j'ai même pas eu à expérimenter quoique ce soit...
J'ai encore de vagues souvenirs d'ivrogne de quelques soirées où des filles se jettaient sur moi la bouche ouverte.
Je dois avouer que c'est aussi un peu pour ça que la ville m'a laissé une impression impérissable...
A Toulon, draguer une fille c'était toujours prendre le risque de se faire casser la gueule, même par ses potes 
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 14:51:55
| C'est comme pour ma première baise, à Toulouse. Je n'ai même pas eu à baisser mon fute. D'ailleurs je n'ai même pas eu à baiser, parce que la fille faisait tout à ma place.
Putain !
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#PizzaMan |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 15:01:36
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Tu peux pas imaginer comme je te crois
Je suis tenté de balancer des trucs que j'ai jamais raconté à personne, mais à Toulouse c'est quand même le seul endroit où je me suis retrouvé au pieu avec trois filles sans même avoir demandé quoique-ce-soit...
Il y a vraiment quelque chose d'étrange qui traine dans l'air là-bas. Je m'imagine cette ville un peu comme ce que j'ai lu une fois à propos de l'Inde, comme quoi elle ne s'est jamais faite envahir par des hordes barbares... tous les guerriers qui y sont entré perdaient subitement l'envie de se battre
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 15:49:22
| J'ai vécu la même chose dans le nord canadien, avec les femmes Inus.
Impossible de dormir !!! Dès que tu entres dans le plumard, il y en a une qui s'approche, à poils, l'air timide, puis elle se glisse sous les draps. Ensuite, une autre se ramène, et puis une autre, et une autre....
Edité le 10-07-2008 à 15:49:35 par PizzaMan
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#PizzaMan |
| | Atil | | | 35305 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 17:30:51
| Moi j'avais rencontré la jolie Aurore dans une partouze ... mais je n'étais pas du tout à l'aise : c'était une partouze dont la moitier des hommes étaient homosexuels.
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...à mon humble avis.
#Atil |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 19:36:01
| Moi j'ai même pas besoin d'être entouré d'homos pour être mal à l'aise... généralement dès que ça se met à tourner autour du cul je me barre ou je me met à boire sérieusement. Le problème c'est que pour les mecs c'est souvent leur fierté qui est mise en jeu... moi je suis plutôt puritain, même si je me donne l'air du contraire parfois, c'est con mais une fille qui me parle avec enthousiasme d'un film d'Antonioni ça m'excite plus que si elle se mettait à poil. Et je me suis déjà fait traité de pd à cause de ça...
Enfin c'est fou les coutumes quand même... et ce qu'on apprend sur les gens avec tout ça ... Atil dans une partouze et Pizzaman qui a fait le tour du monde ... on dirait pas comme ça.
Moi à Toulouse je sortais avec une nana que j'avais rencontré là-bas, et un soir, tard, je sais même plus comment, en sortant d'un bar on s'est retrouvé dans une voiture avec trois anglais. J'avais une fille sur les genoux complètement ivre qui avait perdu ses chaussures dans le bar (???), à côté de moi il y avait une autre fille qui me tenait la main en me souriant, et ma copine se faisait tripoter par un des anglais. Ils étaient tous fous de joie et moi ça me gonflait, j'avais plutôt l'alcool mauvais à cause de ces foutus anglais complètement lubriques.
Quand ma copine a roulé une pelle à un des mecs, je me suis mis aussi à embrasser la fille à côté de moi qui me faisait les yeux doux depuis un moment. Mais quand elle s'en est aperçu elle lui a sauté dessus, je pensais qu'elle allait l'étrangler (on était tous bourrés comme des coings, moi les filles m'avaient lancé le défi de boire plus de vodka que le barman, et ce qu'elles ne savaient pas - et lui non plus d'ailleurs- c'est qu'enfiler de la vodka c'était à peu près la seule chose que je savais faire à l'époque - c'était ma manière d'écarter les prétendants quand des mecs cherchaient à sauter ma copine - ça lui avait fait une drôle de surprise à cet enfoiré de barman) mais non, au contraire elle lui a fourré sa langue dans la bouche, et elles semblaient ne plus arriver à se décoller l'une de l'autre.
Les anglais nous ont alors jeté dehors (j'ai encore jamais compris pourquoi) et par un hasard que j'ai jamais compris non plus on s'est retrouvé juste devant là où habitait une des filles. Elle nous a proposé de monter chez elle, ma copine était collé à elle, et la troisième (celle qui était pieds nus) trouvait ça mignon deux filles qui s'embrassent et elle nous suivait parce qu'elle voulait les regarder faire.
Autant dire que c'était le grand n'importe quoi, j'avais jamais vu ça.
En entrant chez elle j'ai même pas eu le temps de me mettre à chercher quelque chose à boire que les filles se sont à nouveau sauter dessus et se sont littéralement arracher les vêtements. Elles ont tout fait, là comme ça, et c'était dégueulasse à voir en plus parce que ma copine avait ses règles.
Enfin... après un certain temps, quand je pensais enfin pouvoir cuver et dormir un peu, ma copine a désaoulé, elle a voulu à tout prix se barrer de là et j'ai du passer toute la journée ( qui avait déjà commencé ) à la convaincre que ce qu'elle avait fait n'était pas sale... et elle m'engueulait en plus parce que moi j'espérais bien dormir un peu là-bas avant de rentrer...
Je pensais avoir vu pas mal de choses, à Nice par exemple, mais avec des choses comme ça, oui Toulouse c'est une ville que j'aurais du mal à oublier...
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 19:47:10
| Héhé ! Je reconnais bien ma ville, là
Le coup de ta copine qui a ses règles et qui roule des pelles à une autre nana, toutes les deux à poils, c'est trop ! Franchement, ça me file la gerbe rien qu'à y penser. Et pourtant j'en ai vu de toutes les couleurs dans ma vie. Putain...
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#PizzaMan |
| | Atil | | | 35305 messages postés |
| Posté le 10-07-2008 à 20:02:15
| Finalement je crois qu'Usul va faire plusieurs livres !
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...à mon humble avis.
#Atil |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 01:22:07
| Ce qui était vraiment dégueulasse Pizza', je sais pas si tu as compris c'est pourquoi je reviens dessus, c'est qu'elles s'en sont pas vraiment arrêté à se rouler des pelles...
Bon... on a eu un avant-goût des coutumes du sud-est, du sud-ouest aussi, sur Paris je pense pas qu'il y est grand chose à dire, alors dans le nord ça se passe comment le contact avec les gens ?
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 01:38:23
| J'avais compris. Je ne voulais simplement pas entrer dans les détails.
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#PizzaMan |
| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 02:52:39
| Bon OK... Elles ont brouté la moquette. Bordel de merde, je l'ai dit !!! T'es content ???
Maintenant j'ai la gerbe par ta faute !
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#PizzaMan |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 04:15:32
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excusez moi, ça m'a échappé
Ca me fait penser à un mec de Montpellier que j'ai connu à Paris et qui vomissait toujours un peu quand on le faisait rire... et encore, s'il n'avait que ça... C'était plutôt désagréable de l'avoir chez soi mais c'était très drôle de l'emmener avec nous chez des gens qu'on aimait pas beaucoup par exemple. Surtout que lui-même avait le sens de l'humour.
Oui, enfin bon, après tout ça je met quand même au défi ces fameux gens du nord dont on entend tant parler, avec leur affreuse bonhommie et leur joie de vivre, d'être plus accueillants que ceux du sud-ouest...
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 04:49:51
| Et il paraît qu'au centre de la France, il faut pratiquement camper dans les vallées, devant les chaumières, jusqu'à ce qu'un paysan s'approche de toi, l'air mauvais, pour t'inviter à grailler chez lui. Et tout ça, après avoir passé plus de 7 jours sous la pluie, dans le vent, la grêle, la neige, et le froid !
Putain d'Auvergnats à la con...
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#PizzaMan |
| | Atil | | | 35305 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 08:07:34
| Je ne sais pas si c'est une impression mais il me semble que la légendaire hospitalité des gens du nord a tendance a disparaitre petit à petit (à cause de la "mondialisation" ?).
Mais c'est difficile pour moi de juger les gens qui m'entourent. Surtout que moi-même je suis plutôt du genre solitaire, donc je m'arrange toujours pour ne pas être entrainé dans leurs virées par les autres. Je ne suis pas un fêtard et les beuveries m'emmerdent.
De l'autre coté de la frontière les belges sont encore plus rigolos, fêtards et bruyants que les nordistes ... mais je trouve tout ca vulgaire et puéril.
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...à mon humble avis.
#Atil |
| | Usul | | | 986 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 18:50:50
| Oui j'ai l'impression moi aussi qu'on est de plus en plus en train de confondre l'hospitalité et faire la fête...
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| | PizzaMan | | 11828 messages postés |
| Posté le 11-07-2008 à 18:57:20
| Mais à Toulouse, l'hospitalité et la teuf se confondent par-contre.
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#PizzaMan |
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