Sujet :

Les femmes ont trop de pouvoir

PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 12:11:51   

Les femmes ont-elles trop de pouvoir ?

Les femmes sont partout, on accorde systématiquement ou presque de l'attention à leurs avis, elles occupent des postes importants, etc. Il en résulte que les femmes deviennent habituées à se suffire elles-même à presque tous le niveaux, elles peuvent même se passer des hommes, et le fossé installé s'accroit...

Avant, l'homme exercait sa domination sur la femme. Aujourd'hui, chacun prend son côté. Était-ce mieux avant, ou mieux aujourd'hui ?
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 12:37:29   

Peut-on avoir trop de pouvoir si on l'utilise justement?

Peut-être que les femmes maitrisent le pouvoir plus justement ou on moins peur de le perdre.

Raison pour laquelle leur pouvoir s'accroit comme le précise justement ta remarque.

Quand a creuser un fossée, c'est un bien grand mot. Peut-être que ça rééquilibre l'ensemble.

Pourquoi vouloir dominer? Pourquoi vouloir abuser des forces de ce pouvoir et ne pas vouloir le partager? Puisque comme l'argent, le surplus ne sert a rien, il allourdit.
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 12:44:11   

Ceci ne répond pas à l'essentiel de la question. Relisez bien.

Est-ce mieux aujourd'hui, quand on constate ce fossé ? Avant, les choses étaient à leur place, les sociétés s'organisaient. Aujourd'hui on assiste plutôt à une désorganisation, un éclatement des familles, bref, l'éclatement de toute la société. Les femmes étaient-elles vraiment plus malheureuses avant ? Parce que si elles étaient vraiment exploitées avant, moi, un tout jeune homme du 21ème siècle, je constate que les femmes sont misérables de nos jours.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 12:50:25   

Très cher Pizza, je te retorquerais que tu parles de quelque chose que tu ne peux pas appréhender. Un peu comme moi avec les pulsions sexuelles des hommes sur lequel, d'ailleurs, j'aurais un avis réciproque.

Tu ne peux pas comprendre alors n'emet pas d'avis. Juste constate

Quand à mon opinion sur ce changement. Je pense que cela vaut le coup de destructurer pour restructurer autrement. Clairement, je suis pour cette réorganisation.
Atil
   Posté le 28-01-2007 à 12:55:19   

Plus les femmes se suffisent à elles-mêmes et plus elles délaissent leurs enfants, paradoxalement.
Hors les enfants ne peuvent pas se suffire à eux-mêmes .. même s'ils ont tendance à croire le contraire.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 13:10:15   

Pas vrai. C'est l'un des dérapages ou des risques, comme l'abus de sexe pour un homme.
Mais ce n'est pas toutes les femmes. Au contraire, j'ai constaté l'inverse. Plus tu te suffis, plus tu réalises la maternité.

Quand aux enfants, pas d'accord non plus. Sans choix, un enfant, à partir d'un certain age, peut s'auto-suffire. J'en ai déjà rencontré.
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 13:12:57   

Je pense au contraire, que Atil soulève un point intéressant. Les femmes délaissent de plus en plus l'idée de fonder une famille, en France. Carriériste, opportuniste, indépendante, suffisante, la femme occidentale française est tout simplement devenue contraire à sa propre nature.

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«Quand à mon opinion sur ce changement. Je pense que cela vaut le coup de destructurer pour restructurer autrement. Clairement, je suis pour cette réorganisation»...

<o> Le problème c'est que visiblement, on ne «restructure» rien. Je ne constate aucune réorganisation. Je vois un tas de femmes qui peuvent se permettre de tout jeter du bout des doigts quand elles le veulent, avec les responsabilités que ça implique. À mon avis, les femmes ont renié leur nature.
Atil
   Posté le 28-01-2007 à 13:25:51   

Se suffire à soi-même signifie qu'on n'est l'esclave de personne.
Cela n'est possible que si les femmes cessent d'être dépendantes de leur mari ... ET de leurs enfants.
Comment une femme peut-elle être indépendante financièrement si ce n'est en travaillant ?
Et comment peut-elle travailler si elle a des petits enfants à s'occuper ?
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 13:35:51   

Comment? Je dirais que cela se paie. Dans mon cas cela a été plus de 15 ans de bons et loyaux services à travailler intensément. Puis pouvoir travailler comme il est necessaire et m'occuper de mes filles. Donc ca se fait et chaque femme avec son comment.

Quand a ne pas s'éloigner de sa nature primaire, ce n'est pas exact. C'est juste que le parcours est long. "Rome ne s'est pas fait en un jour". Regardes autour de toi. De plus en plus de femmes indépendantes, font des enfants tout en gardant leur indépendance. Adoptent si il le faut. Bon ok, ça deconne encore un peu sur la manière dont tout cela est fait. Mais cela se réorganise dans un sens ou au contraire. Je dirais plutôt. Après avoir déconné, les femmes éffectuent un changement, tatonnent, se trompent, réessaient, continuent, arrivent. A mon sens le chemin pris est le bon. C'est juste un changement.
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 13:42:22   

«Puis pouvoir travailler comme il est necessaire et m'occuper de mes filles. Donc ca se fait et chaque femme avec son comment»...


<o> S'il n'y a pas de mec dans cette aventure, donc ça ne se fait pas. C'est justement ce que je disais, ça exclue un membre à part entière de la société. Cette société éclatée qui permet qu'une femme puisse élever seule ses enfants qui soit-dit en passant, auront des troubles plus tard, vu l'absence d'un père, ce n'est pas ma vision d'une société saine.

Un cadre décent, c'est-à-dire un environnement sain afin de favoriser un développement psychologique équilibré aux enfant durant leurs premières années jusqu'à l'adolescence, c'est : un papa et une maman responsables, vivant ensemble.

Une femme seule avec des enfants, excusez du peu, mais ce n'est pas normal. C'est malsain. C'est le produit de l'égoisme. C'est diabolique...
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 14:09:48   

Vadé retro satanas.

M'enfin, leur père existe. Il est là. Elles le voient souvent. Tout va bien. Elles sont un tant soit peu équilibre dans le déséquilibre de la relation papa/maman. Cela est un des changements. Retrouver un équilibre au sein de nouvelles relations parentales.

Pour ma part, mes filles auront surement des épreuves à passer, comme tous les êtres humains, et je serais hélas, responsable de plus d'une. Ainsi, à choisir celle de leur montrer une mauvaise relation mari/femme, j'ai préféré leur construire une relation différente père/mère. Chacun fait ses choix. De la à parler de satan, tu t'emportes encore.
Lubie
   Posté le 28-01-2007 à 16:11:59   

Pizza Man a écrit :

Les femmes ont-elles trop de pouvoir ?

Les femmes sont partout, on accorde systématiquement ou presque de l'attention à leurs avis, elles occupent des postes importants, etc. Il en résulte que les femmes deviennent habituées à se suffire elles-même à presque tous le niveaux, elles peuvent même se passer des hommes, et le fossé installé s'accroit...

Avant, l'homme exercait sa domination sur la femme. Aujourd'hui, chacun prend son côté. Était-ce mieux avant, ou mieux aujourd'hui ?


Je crois que tu poses mal le problème, Pizza Man. Il ne s'agit pas de se demander si les femmes ont trop de pouvoir et si ce n'était pas mieux avant (car cela ne l’était évidemment pas !) il s'agit plutôt selon moi, de se demander comment faire pour bien faire : pour que chacun ait sa place et puisse y être épanoui.

Que les femmes se soient émancipées, c'est une très bonne chose à mon avis : les sociétés exclusivement patriarcales n'accordent pas à la femme la place qu'elle mérite et la femme y est souvent soumise, dépréciée, destinée aux seules tâches du foyer.

Mais nous ne devons pas commettre aujourd’hui l'erreur de sombrer dans le schéma inverse qui ôterait à l'homme toute sa valeur et lui ferait perdre tous ses repères.
Je pense que la femme n'a pas dominer seule et à transformer la société, dirigée par les hommes pendant des siècles et des siècles, en société exclusivement matriarcale.
C’est l'harmonie qu'il faut tenter d’atteindre, je crois, en répartissant, de manière juste et avec considération pour les uns et les autres, les responsabilités. Il y a tout un tas de choses que les femmes ne peuvent pas faire seules ; de même que les hommes doivent apprendre aujourd’hui à composer équitablement avec les femmes.

Je note tout de même qu’un couple qui fonctionne sainement est un couple qui répartit les responsabilités. Voilà ce que nous devrions tenter d'atteindre, je crois, à l'échelle de la société. Cela en remplaçant le système hiérarchique, qui ne peut être dans un cas comme dans l’autre, une bonne chose, par un système équilibré.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 16:20:33   

Oui, oui, oui

Exactement cela, équilibre.
Atil
   Posté le 28-01-2007 à 17:21:20   

"Comment? Je dirais que cela se paie. "

>>>>>Oui. Cela se paie ... mais pour les enfants aussi.
Ce sont aussi eux qui paient.



"Dans mon cas cela a été plus de 15 ans de bons et loyaux services à travailler intensément. Puis pouvoir travailler comme il est necessaire et m'occuper de mes filles. Donc ca se fait et chaque femme avec son comment."

>>>>>>Ou est l'indépendance quand on est surchargé de travail ?
On passe de la soumission au mari à la soumission au travail.



"Regardes autour de toi. De plus en plus de femmes indépendantes, font des enfants tout en gardant leur indépendance. Adoptent si il le faut. Bon ok, ça deconne encore un peu sur la manière dont tout cela est fait."

>>>>>ben oui, c'est normal. Comment une femme peut-elle bien s'occuper de ses enfants alors qu'elle fait plein d'autres choses à coté ? C'est normal que ca déconne et on ne peut rien y faire. C'est logique que plus on fait de chose en même temps et plus c'est baclé.


"Après avoir déconné, les femmes éffectuent un changement, tatonnent, se trompent, réessaient, continuent, arrivent. A mon sens le chemin pris est le bon. C'est juste un changement."

>>>>>Les enfants mal dans leur peaux et qui cassent tout ce n'est également qu'un changement.


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"M'enfin, leur père existe. Il est là. Elles le voient souvent. Tout va bien. Elles sont un tant soit peu équilibre dans le déséquilibre de la relation papa/maman. Cela est un des changements. Retrouver un équilibre au sein de nouvelles relations parentales."

>>>>>>Et pendant ce temps les enfants sont de plus en plus déséquilibrés.
A force de voir les adultes ne penser égoïstement à leur indépendance, eux aussi font de même et réclament leur indépendance et rejette toute autorité.

Si, pour une femme, vivre avec un homme est maintenant ressenti comme une soumission intolérable, alors pourquoi les enfants ne raisonneraient-ils pas de même : pour eux , maintenant, vivre avec des parents est devenu aussi une soumission intolérable.
On voit combien on nous a bien bourré le crane : aimer quelqu'un est devenu un truc intolérable.


"Pour ma part, mes filles auront surement des épreuves à passer, comme tous les êtres humains, et je serais hélas, responsable de plus d'une. Ainsi, à choisir celle de leur montrer une mauvaise relation mari/femme, j'ai préféré leur construire une relation différente père/mère. Chacun fait ses choix. De la à parler de satan, tu t'emportes encore."

>>>>>Pourquoi essayons-nous toujours de rationnaliser nos erreurs et nos actions égoïstes ?

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"elles-même à presque tous le niveaux, elles peuvent même se passer des hommes, et le fossé installé s'accroit..."

>>>>>Si elle pouvaient VRAIMENT se passer des hommes alors tout irait bien.
Mais elles ne peuvent pas se passer des hommes : comment feraient-elles des enfants sinon ?
On ne peut pas réclamer le beurre et l'argent du beurre à la fois.
Soit on vit seul, indépendant, soit on vit avec des enfants, mais alors il faut l'homme qui permet de les faire.


"Avant, l'homme exercait sa domination sur la femme. Aujourd'hui, chacun prend son côté. Était-ce mieux avant, ou mieux aujourd'hui ?"

>>>>>Avant les parents exercaient leurs odieuse domination sur les enfants.
Maintenant, Dieu merci, les enfants sont libres et peuvent faire toutes les conneries qu'ils veulent.
Tout va bien dans le meilleur des mondes.


"il s'agit plutôt selon moi, de se demander comment faire pour bien faire : pour que chacun ait sa place et puisse y être épanoui."

>>>>>>L'ennui c'est que personne ne se pose cette question : Tout le monde se dit : MOi je veux être indépendant, MOI je veux être libre. Et on se fiche pas mal des autres.


"Mais nous ne devons pas commettre aujourd’hui l'erreur de sombrer dans le schéma inverse qui ôterait à l'homme toute sa valeur et lui ferait perdre tous ses repères."

>>>>>On n'en est pas encore la. Actuellement c'est le couple parental qui est déprécié.
On est libre de penser que le couple parental est un truc ringard et dépassé ... mais dans ce cas on ne fait pas d'enfants.
Les moines estiment que ce n'est pas assez spirituel de vivre en couple alors ils ne vivent pas en couple ... mais ils ne font pas d'enfants et ne les obligent pas à vivre autèrement dans leurs monastères.



"C’est l'harmonie qu'il faut tenter d’atteindre, je crois, en répartissant, de manière juste et avec considération pour les uns et les autres, les responsabilités. "

>>>>>Et l'harmonie sera impossible à atteindre tant qu'on verra tout sur le mode "domination et autonomie".
Le couple devrait être une harmonie des complémentaire s et non un rapport de domination entre deux êtres.


"Je note tout de même qu’un couple qui fonctionne sainement est un couple qui répartit les responsabilités. "

>>>>>C'est pourtant ce qui a pratiquement toujours eu lieu dans toutes les anciennes sociétés.
Mais maintenant qu'on ne parle plus que d'autonomie, c'est touner le dos à toute répartition des responsabilités. Vivre seul c'est ne pas répartir les responsabilités mais les prenre toutes pour soi. Pourquoi donc vouoir tout faire à la fois ?
Lubie
   Posté le 28-01-2007 à 18:02:36   

"Mais nous ne devons pas commettre aujourd’hui l'erreur de sombrer dans le schéma inverse qui ôterait à l'homme toute sa valeur et lui ferait perdre tous ses repères."

>>>>>On n'en est pas encore la. Actuellement c'est le couple parental qui est déprécié.
On est libre de penser que le couple parental est un truc ringard et dépassé ... mais dans ce cas on ne fait pas d'enfants.
Les moines estiment que ce n'est pas assez spirituel de vivre en couple alors ils ne vivent pas en couple ... mais ils ne font pas d'enfants et ne les obligent pas à vivre autèrement dans leurs monastères.


Je crois au contraire que nous sommes en plein dedans, Atil. Des femmes qui se veulent et se disent indépendantes, autonomes, qui défendent dur comme fer la liberté, l'émancipation et l'autosuffisance de la femme rencontrent des hommes qui ne se reconnaissent pas dans ce schéma et ne savent donc plus où est leur place. Il y a là un vrai dialogue à mener pour que chacun puisse entendre et comprendre les revendications de l'autre, me semble-t-il.

Je note tout de même qu'avant de faire un enfant, il faut d'abord faire un couple et pour avoir envie de faire un enfant à deux, il faut former un couple qui fonctionne bien. C'est à ce niveau là, je crois, que les choses déconnent souvent... et l'on ne fait pas un enfant pour réparer son couple, car alors on court forcément à la catastrophe.

"C’est l'harmonie qu'il faut tenter d’atteindre, je crois, en répartissant, de manière juste et avec considération pour les uns et les autres, les responsabilités. "

>>>>>Et l'harmonie sera impossible à atteindre tant qu'on verra tout sur le mode "domination et autonomie".
Le couple devrait être une harmonie des complémentaire s et non un rapport de domination entre deux êtres.


Je suis tout à fait d'accord, et je n'ai pas dit autre chose. Mais ça demande de faire un travail sur soi et à deux que tout le monde n'est pas prêt à faire.

"Je note tout de même qu’un couple qui fonctionne sainement est un couple qui répartit les responsabilités. "

>>>>>C'est pourtant ce qui a pratiquement toujours eu lieu dans toutes les anciennes sociétés.
Mais maintenant qu'on ne parle plus que d'autonomie, c'est touner le dos à toute répartition des responsabilités. Vivre seul c'est ne pas répartir les responsabilités mais les prenre toutes pour soi. Pourquoi donc vouoir tout faire à la fois ?


J'entends par répartir les responsabilités accepter, justement, au sein du couple qu'il n'y ait pas de répartition systématique. Grossièrement, il ne revient pas de plein droit à la femme de faire le ménage, d'aller faire les courses et d'arrêter de travailler quand bébé vient ; de même que l'homme n'a pas à gagner seul l'argent du foyer et à se mettre les pieds sous la table quand il rentre.
Seul le vrai dialogue et les concessions peuvent permettre de répartir équitablement les responsabilités ; mais chacun doit y mettre du sien, chacun doit accepter de sacrifier une part de sa liberté et de son autonomie pour que le couple fonctionne. Ca a l'air facile comme ça, mais c'est vraiment ce qu'il y a de plus difficile à mon avis, parce que la femme veut être sûre qu'on lui accorde toute son autonomie et en même temps sûre de l'amour qu'on lui porte, et que l'homme, face à cette femme extraterrestre qui semble très bien s'en sortir toute seule, ne sait pas toujours la rassurer.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 18:22:25   

Atil?

Tu penses que les enfants de parents divorcés ont plus ou moins ou pareils de problèmes que le enfants issus de couple mariés?

Je ne vois pas pourquoi tu es tant obnubilé par le couple mariés et que tu ne vois pas le nouveau couple divorcé. C'est différent. Ni mieux, ni moins, juste plus adapté à la société.
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 18:26:45   

Ma grande, je suis moi-même issu d'un couple divorcé, mes amis sont tous des enfants de couples divorcés, et je peux te dire que ça n'a pas du tout été fastoche. Et puisque, excusez du peu, tu as l'audace de prétendre le contraire, regarde-toi, regarde tes filles, et dis-toi que ce n'est pas normal.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 18:33:44   

Je dis juste que ce n'est pas pire que le destin d' amiesdont les parents sont toujours mariés mais qui a subi les guerres froides et psychologiques de la non separation, la culpabilité du "on est resté avec toi pour vous (les enfants)"...

Entre deux maux, j'ai choisi mon moindre. Que ce choix là soit égoiste? Je n'en suis pas si sure. L'égoisme du choix par rapport aux enfants se décide au moment de faire les enfants avec cet homme et a ce moment. Pas dans le choix du divorce ou de rester avec ledit homme. L'egoisme de choix dans le divorce est de pourrir, délaisser,... faire patir les enfants de ce choix de séparations.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 18:40:08   

Et sérieusment, regardes la souffrance des enfants de couple mariés. Elle existe aussi et est aussi forte que la tienne. Les raisons en sont différentes.

Tu "vois" plus les souffrances d'enfants de divorcés car elles sont pointées du doigts, codifiées et acceptées. Alors que celles issues d'un couple marié sont encore taboux.

A 16 ans à l'école on acceptait et escusait tout de moi car j'étais une des seules enfants de divorcés au lycée et dans la vie. Depuis cette situation c'est démocratisée et on escuse moins les enfants de divorcés. Ou autant que les autres enfants.

.
Membre désinscrit
   Posté le 28-01-2007 à 20:37:37   

c'est de pire en pire ce sujet.
Lubie
   Posté le 28-01-2007 à 20:50:57   

Bah, moi j'ai lâché ! Je ne comprends pas comment du pouvoir des femmes on est parvenu au dithyrambe des familles monoparentales et à la souffrance des enfants de couples mariés.
Juste pour l'anecdote, mes parents sont toujours ensemble et amoureux, après plusieurs années de vie commune, et sincèrement ça ne ressemble pas à ce que je lis ici.
Lubie
   Posté le 28-01-2007 à 20:53:10   

plusieurs dizaines d'années…
Atil
   Posté le 28-01-2007 à 21:26:09   

"J'entends par répartir les responsabilités accepter, justement, au sein du couple qu'il n'y ait pas de répartition systématique. Grossièrement, il ne revient pas de plein droit à la femme de faire le ménage, d'aller faire les courses et d'arrêter de travailler quand bébé vient ; de même que l'homme n'a pas à gagner seul l'argent du foyer et à se mettre les pieds sous la table quand il rentre."

>>>>Mais la on entre dans l'idéologie.
Il est un fait c'est que les hommes et les femmes ont des caractères différents et qu'ils sont doués pour des choses différentes. C'est pourquoi ils sont complémentaires. Et c'est pourquoi aussi dans toutes les cultures les hommes et les femmes s'occupent de taches différentesn, selon pour ce quoi ils sont le + doués.
Mais, bien entendu, il faudrait tenir compte aussi des femmes qui ont des dons masculins et des hommes qui ont des dons féminins.

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"Tu penses que les enfants de parents divorcés ont plus ou moins ou pareils de problèmes que le enfants issus de couple mariés?"

>>>>>Les enfants de couples divorcés souffrent de ce divorce. Ca leurs fait donc une épreuve de plus à gérer.



"Je ne vois pas pourquoi tu es tant obnubilé par le couple mariés et que tu ne vois pas le nouveau couple divorcé. C'est différent. Ni mieux, ni moins, juste plus adapté à la société."

>>>>>Il n'y a pas adaptation mais endoctrinement. Notre société endoctrine les gens pour les rendre égoïstes et individualistes .. ce qui rend la vie en couple plus difficile et entraine de nombreux divorces.

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"Je dis juste que ce n'est pas pire que le destin d' amiesdont les parents sont toujours mariés mais qui a subi les guerres froides et psychologiques de la non separation, la culpabilité du "on est resté avec toi pour vous (les enfants)"..."

>>>>>Les excuses sont faites pour s'en servir.
Si les parents divorcent c'est parcequ'ils ne savent même plus se montrer diplomate ni faire des concessions. Si les parents se montraient responsables, ils penseraient au bien de leurs enfants et tenteraient donc de sauver leur couple au lieu de divorcer pour un oi ou pour un non.
Quand on voit le nombre de divorces, on ne va tout de même pas me faire croire que tous ces gens se sont séparés car ils avaient épousé un(e) monstre.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 21:41:19   

Chacun à ses raisons et je ne peux m'engager à nouveau car je suis partie prenante. Sur cette discussion, j'ai déjà fait mon choix.
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 21:59:27   

Même la drague est devenue pénible en occident. Avant on pouvait impressionner les meufs, leur faire la cour, être gentil, avec de bonnes manières et bingo ! Maintenant on peut se faire envoyer chier rien que pour un sourire ou un regard. C'est très révélateur d'un égoisme de femmes totalement programmées à être indépendante.

L'ennui c'est que toute la société finit par en souffrir. L'identité des sexes se perd.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 22:26:42   

Pizza ne peux plus draguer comme il veut, les femmes se rebellent
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 22:32:45   

Non, je ne peux plus draguer car je suis fidèle à ma tendre moitié
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 22:53:04   

Grand bien te fasses
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 23:02:48   

Grand bien nous fasse dans cette histoire de partage .
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 23:05:46   

Waaaouah!!!! Une tendre moitié a rendu Pizza aimable et galant. Felicitations à ta tendre
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 23:09:15   

Par «nous», j'entendais moi et ma copine
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 23:13:08   

Lol, je suis absolument morte de rire.

C'est bien ce à quoi je pensais, toi et ta copine, et c'était ironique Que tu sois aimable et galant avec elle est merveilleux.
PizzaMan
   Posté le 28-01-2007 à 23:19:12   

Je suis toujours «galant» avec les femmes qui croient encore en l'homme.
zorglub
   Posté le 28-01-2007 à 23:26:43   

Ca me fait penser à la fable de La Fontaine du Renard et du Corbeau.

C'est peut être de là que viens l'expression "qui aime bien, chatie bien"

Je ne sais plus pourquoi j'dis ça, au fait
tayaqun
   Posté le 29-01-2007 à 18:22:37   

Pendant l’affaire Dreyfus, le journal « l’assiette au beurre » fit paraître deux tableaux.
Le 1er tableau représentait un repas de famille tranquille, la note était : « ils ont promis de ne pas en parler »...
Le 2e tableau montrait un champ de bataille campé dans la précédente salle à manger avec la note : « ils en ont parlé »...
Ici, avec un tel sujet... On a compris.
Je pense qu’il y a un problème mais je ne sais répartir les responsabilités...
J’ai l’impression que sous prétexte d’assumer leur liberté, certaines femmes jouent aux mecs qu’on clouait au pilori...
Hier, avec ma femme, on se demandait pourquoi les gens s’évertuent à être malheureux alors qu’on peut mettre son intelligence au profit d’un « bonheur commun ». Cela fait un peu vieux jeu mais 2 et 2 font 4 depuis longtemps déjà...
Atil
   Posté le 29-01-2007 à 18:42:42   

Dire "cela fait un peu vieux jeu" prouve bien que le problème est avant tout idéologique.
Les gens ne cherchent pas à vivre comme ils ont envie mais tel que notre société leurs fait croire qu'il faut vivre. Et si on ne suit pas ce mouvement, alors on est un ringard.
Actuellement, les femmes ne doivent pas se sentir bien avec leur mari ; elles doivent se sentir brimées par eux car ce sont de méchants phallocrates. Et si elles ne pensent pas ainsi, alors elles sont ringardes.
zorglub
   Posté le 29-01-2007 à 18:53:17   

La société cherche a controler ce qu'il faut croire et surf sur la vague des changelents en essayant d'en donner une image qui est celle que tu donnes aussi.

On peut faire des choses parceque l'on croyait ce que le mouvement disait. S'appercevoir que ce n'est pas ce que l'on a envie. Changer et assumer ses "écoutes" passées.
tayaqun
   Posté le 01-02-2007 à 11:20:48   

Voici ce que j'ai reçu de l'Harmattan ce matin:



FEMME, TA FÉMINITÉ FOUT LE CAMP !
Sur une lecture masculine du Deuxième Sexe
Joachim De Dreux-Brézé
(Coll. Questions contemporaines, 116 p., 12 EUR) ISBN 2-296-01613-8


je n'ai évidemment pas lu cet ouvrage mais celui-ci aurait-il pu porter un tel titre si le sujet n'était dans l'air?

Ceci dit, Digoyo a raison de siffler la fin de la partie qui dérape totalement...

Pour en revenir sur le fonds : Poser la question "les femmes ont trop de pouvoir?" est quand même fichtrement vicieux? Ou l'on croit à l'égalité des sexes et cela n'a pas de sens; ou l'on croit à l'inégalité des sexes et cela n'en a pas davantage.

Il n'en reste pas moins que le désordre consaté ici résulte du délitement de la famille, et cela redevient un sujet d'actualité.

Si tes parents sont normaux et heureux Digoyo, c'est surtout parce qu'ils se sentent réciproquement responsables. Ils l'on dit, déclaré et vécu...
Je plains les jeunes qui ne s'engagent pas.
Si à deux ce n'est pas toujours drôle, toujours seul et sans attache, c'est l'algue marine qui se perd dans l'océan.
PizzaMan
   Posté le 01-02-2007 à 11:29:48   

Je ne crois pas du tout à l'égalité des sexes.

Je revendique la complémentarité des sexes. Mais malheureusement, les femmes ont choisi de suivre une autre voie.
Atil
   Posté le 01-02-2007 à 12:51:22   

Elles vont se reproduire par pathénogenèse et elles n'auront plus besoin des hommes
zorglub
   Posté le 01-02-2007 à 20:59:40   

Je repensais au début de la discussion et en fait, c'est pas du pouvoir que l'on a mai de l'exigence.
On a juste plus d'exigence. Et parcequ'on se permet d'en avoir plus cela se traduit indirectement par plus de confiance en soi et d'opposition donc plus de pouvoir.

Mais l'exigence est-elle du pouvoir? Le choix est-il un pouvoir? et en as-t-on vraiment plus ou cela est-il a comparer par rapport aux hommes?
Atil
   Posté le 01-02-2007 à 22:18:00   

Exiger ... n'est-ce pas réclamer du pouvoir ?
zorglub
   Posté le 01-02-2007 à 22:55:35   

Non c'est réclamer une qualité, un équilibre. Pas du pouvoir.

Tout travail mérite salaire. Ce n'est pas du pouvoir, c'est de la justice.
Atil
   Posté le 01-02-2007 à 23:20:22   

Quel salaire réclament les femmes ?
zorglub
   Posté le 02-02-2007 à 10:17:08   

Ben ce que leurs exigences sont. Enfin, je parle pour moi :-)
PizzaMan
   Posté le 02-02-2007 à 11:55:30   

Les femmes sont fortes pour exiger, mais elles ne donnent plus rien en retour.
zorglub
   Posté le 02-02-2007 à 12:17:55   

Si c'est pour donner de la soumission face aux matérialités de la vie, c'est clair elles ne donnent rien, car le changement va dans le sens d'une indépendance financière.

Donc, si s'éloigner des choses matérielles, c'est un pouvoir, il ne peut être trop car les hommes le peuvent autant que les femmes.

Conclusion, ce que les femmes demandent aux hommes, c'est plus d'exigences "spirituelles" et moins d'exigences "matérielles". Si tu considère cela comme trop de pouvoir, c'est que tu ne dois pas entrer dans cette catégorie d'homme recherché.
tayaqun
   Posté le 02-02-2007 à 12:19:33   

Pizza Man dit: "Je ne crois pas du tout à l'égalité des sexes.

Je revendique la complémentarité des sexes."
L'égalité existe-t-elle en ce bas monde. 2=2; d'accord et c'est valable pour tous les nombres. Mais, à part le cas précédent, l'égalité n'est plus jamais vérifié; c'est tellement vrai que les physiciens ont introduit "le calcul d'erreur" et la notion de" fourchette" ou d'encadrement.
Si l'on sait que deux sucres ne sont jamais égaux, qu'en est-il de deux Hommes? On s'arrêtera à "pas la même tête" pour faire court et enregistrer l'inégalité de fait entre tous les vivants..
Mais de cette notion, on n'en a que faire!
Il s'agit de l'égalité des droits.
Et puisque certains sont férus de philosophie orientale, le yin et le yang sont une belle approche, de la complémentarité, schant que derrière le symbole se cache des choses totalement différentes, sachant qu'on y reconnaît volontiers le "mâle ou principe mâle" et la "femelle ou principe femelle", non?
Cette complémentarité entre l'un et l'autre c'est exactement l'égalité dans la différence.

Ressasser sans fin qu'une femme est différente d'un homme est d'une très grande banalité sauf si l'on veut introduire un traitement discriminant et là, c'est la porte ouverte à tous les abus.
Je vais essayer de retrouver un passage de Le Goff (historien médiéval) qui fait une approche étymologique très intéressante de la dichotomie.
Atil
   Posté le 02-02-2007 à 12:22:56   

"ce que les femmes demandent aux hommes, c'est plus d'exigences "spirituelles" et moins d'exigences "matérielles".

>>>>>Et si le's enfants avaient les mêmes exigences envers leur mère ?
PizzaMan
   Posté le 02-02-2007 à 12:42:45   

Les hommes et les femmes ne sont pas différents, ils sont complémentaires. Nuance.
PizzaMan
   Posté le 02-02-2007 à 12:43:43   

zorglub omet de mentionner ce que les femmes donnent.
zorglub
   Posté le 02-02-2007 à 14:33:35   

Atil a écrit :

"ce que les femmes demandent aux hommes, c'est plus d'exigences "spirituelles" et moins d'exigences "matérielles".

>>>>>Et si le's enfants avaient les mêmes exigences envers leur mère ?


Les enfants ont les mêmes exigences envers leur mère. C'est ce qui permet de comprendre plus facilement quand on a des enfants.
PizzaMan
   Posté le 02-02-2007 à 19:10:56   

Voici le topo réaliste actuel : les femmes demandent la séparation et le divorce quand le conjoint rencontre des difficultés professionnelles ou de santé, quand une mortalité survient, etc. Les femmes peuvent subvenir à tous leurs besoins, sauf celui au niveau affectif, mais dès qu'elle sont rassasiées, elles jettent leur mec.
tayaqun
   Posté le 02-02-2007 à 19:15:49   

A la question :
« A quels signes reconnaît-on le passage de l’homme de l’Antiquité à l’homme médiéval ? », Jacques Le Goff répond ceci :

« Au rôle de la Bible, je l’ai dit. [...]... l’un des premiers indices – un phénomène majeur – est certainement l’apparition du couple, la notion de l’homme et de la femme en couple. Je le dis bien : le couple, et non pas tout de suite le mariage.
- Pourquoi cette nuance ?
- Parce que le mariage, dans la forme chrétienne que nous connaissons, présent dès l’époque Carolingienne (IXème siècle), ne s’instaure véritablement qu’au XIIème siècle, lorsqu’il devient sacrement de l’Eglise. Il marque alors l’aboutissement de la notion de couple, qui lui est très antérieur et qui découle directement de la diffusion du récit d’Adam et Eve dans la Genèse. D’une certaine manière, la culture médiévale commence lorsqu’on considère l’homme et la femme indissolublement liés, solidaires, à l’image du couple originel. Jamais l’Antiquité n’avait à ce point pensé les deux sexes fondamentalement en couple.
Ce triomphe du couple (« homme et femme il les créa » dit l’Ecriture) est d’une extrême importance théorique et pratique. Du point de vue intellectuel, en effet, la majorité des théologiens affirme qu’Eve a reçu directement son âme de Dieu, tout comme Adam. Ils rejettent donc l’idée, résiduelle, qu’Eve a reçu son âme d’Adam et non de Dieu lui-même. La légende selon laquelle on se serait disputé pour savoir si la femme avait une âme fait partie de ces sottises dont on ne purgera, je le crains, jamais les esprits.
Il faut donc redire, une nouvelle fois, que les Conciles ne se sont jamais interrogés de cette façon sur la femme. Ils voulaient simplement déterminer si le terme homo, l’Homme universel- celui du Et homo factus est du Credo : Il s’est fait Homme- s’appliquait au sexe masculin ET au sexe féminin. Ils ont répondu oui au Concile de Macon (585), adoptant définitivement ce terme d’homo et non celui de vir (exclusivement mâle).
Cette affirmation d’égale dignité, jamais remise en cause, se heurte en permanence à la conviction, bien chevillée, d’une infériorité dans les faits. L’homme et la femme sont égaux. Mieux : ils forment un couple. Mais il y a – à l’intérieur de cette structure étonnamment stable- un conflit latent.
Jacques Le Goff : « Un long Moyen Age » Tallandier, 2004 ; pages 62-63.

J’aime beaucoup cet ouvrage qui nous rappelle nos fondamentaux en visitant certains aspects du monde médiéval.
J’ai cité ce passage à cause, bien entendu, du contenu particulièrement cohérent mais surtout pour le rappel « homo » qui s’adresse aux deux sexes et qui ne permet pas de les distinguer en droit.

Par ailleurs, pour être complémentaires, ne faut-il pas que nous soyons différents?

PizzaMan
   Posté le 02-02-2007 à 19:19:54   

Il y a bien des incompatibilités même parmis les différences.

La complémentarité c'est le juste millieu.
zorglub
   Posté le 03-02-2007 à 08:59:40   

Pizza Man a écrit :

Voici le topo réaliste actuel : les femmes demandent la séparation et le divorce quand le conjoint rencontre des difficultés professionnelles ou de santé, quand une mortalité survient, etc. Les femmes peuvent subvenir à tous leurs besoins, sauf celui au niveau affectif, mais dès qu'elle sont rassasiées, elles jettent leur mec.


Te rends tu comptes de la subjectivité de cette remarque que tu rends générale???
PizzaMan
   Posté le 03-02-2007 à 13:44:33   

Te rends-tu compte que tu n'argumentes aucun de tes propos ?

Avant le féminisme, les femmes n'étaient pas aussi malheureuses qu'on veut te le faire croire. C'est la propagande moderne qui fait croire cela à certaines sombres naïves trop crédules.

Aujourd'hui, on ne peut pas nier que les femmes peuvent travailler. Les femmes peuvent avoir de l'argent. Elles peuvent investir leur argent. Les femmes peuvent élever seules leurs enfants. Les femmes peuvent prendre des décisions. Les femmes peuvent diriger leur propre entreprise. Tout ceci exclue l'homme et dénature son rôle masculin parce que les femmes se sont attribuées des domaines que les hommes occupaient, ou auxquels les hommes contribuaient de concours avec les femmes.

Les femmes sont devenues égoistes. Les femmes, en se «libérant» sont devenues des esclaves. Elles doivent maintenant performer à tous les niveaux. Elles doivent être à la fois des carriéristes et des mères parfaites en tout point. Et ouveau phénomène, les femmes ne doivent pas mettre au monde des enfants. Elles doivent consacrer tout leur temps à leur carrière. Etc, etc.
Atil
   Posté le 03-02-2007 à 19:42:42   

"Les enfants ont les mêmes exigences envers leur mère. C'est ce qui permet de comprendre plus facilement quand on a des enfants. "

>>>>Si les enfants ont les mêmes exigeances envers leur mère, alors eux aussi vont demander de divorcer de leurs parents.
Les enfants aussi demandent à être libres, autonomes, ne veulent plus obéir à leurs parents, veulent n'en faire qu'à leur tête, etc ...
Nous sommes dans la culture de l"individualisme égoïste et du refus maladif de toute contrainte.
PizzaMan
   Posté le 03-02-2007 à 20:01:44   

«Si les enfants ont les mêmes exigeances envers leur mère, alors eux aussi vont demander de divorcer de leurs parents»...

<o> Tout le monde peut donc demander le divorce. À la moindre entourloupe, hop ! Divorce ! Maman ne veut pas acheter la poupée à fi-fille ? Hop ! Fi-fille demande le divorce.

Tout le monde veut sa part du gateaux, et surtout les femmes qui ont carrément démissionnées de la vie familiale. Tout le monde veut à la fois le beurre et l'argent du beurre.
zorglub
   Posté le 04-02-2007 à 20:18:59   


Verdad
   Posté le 14-02-2007 à 20:55:37   

Conneries... le divorce est comme un jugement: un constat d'échec.