Dernières réponses |
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| Il faut aussi déchiffrer son "langage", sa manière d'encoder les données. |
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| oui c'est vrai, mais il semblerait que les théories connexionistes soient de + en + réalistes, elles s'adaptent de + en + aux modèles complexes de réseaux neurobiologiques (selon S. J. THorpe). Avant on pensait que le cerveau possédait un processeur central, maintenant on envisage plutôt que chaque neurone et chaque connexion interneuronale est un processeur en soi. Les réseaux neuronaux modélisés sont ainsi capables de calcul parrallèle. Ainsi semblerait-il qu'on pense que ce n'est pas le codage du réseau neuronal la tâche la plus ardue, mais l'approvisionnement en leçons automatisées. |
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| J'ai l'impression que, pour l'instant, on ne possède que des théories sur ce que pourrait être le code neuronal. Celui-ci n'est pas encore vraiment connu. |
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| J'imagine qu'il doive exister des modèles (forcément récents) pour décrire l'algorithmisation des réseaux neuronaux. Peut-être que certaines simulations se basent sur la connaissance d'un modèle spécifique et simplifié de neurones et des connexions interneuronales ? |
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| Comment faire le moindre calcul si on ignore comment les données sont codées dans les réseaux neuronaux ? |
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| Oui pour les connexions neuronales et interneuronales, mais on a peut-être des estimations pour certaines régions précises du cerveau, ou bien une seule région serait suffisante pour ensuite en faire une extrapolation sur l'entiereté du cerveau ? (de toute façon la mesure serait toujours qu'une approximation et non une mesure exacte) |
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| je ne sais pas si on est capable de le calculer. On ne sait même pas comment l'information est codée exactement dans les réseaux neuronaux. |
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| Le cerveau humain est limité en combien en puissance de calcul ? |
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| bah je sais pas il parle pourtant bien d'un codage énorme d'informations. |
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