| LE FORUM DES CERCLOSOPHES |
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| | | | | Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 19-02-2004 à 17:06:21
| je souhaite soulever une problématique éthique sur le transsexualisme et plus généralement les troubles d'identité sexuelle. Sujet au combien difficile à traiter voir même peut être tabou, le transexualisme à au moins le mérite de nous faire réfléchir sur non seulement la difficulté à concevoir et réaliser sa sexualité, ses fantasmes etc, mais pose plus généralement une question d'odre moral sur qu'est ce que c'est qu'un homme (ou une femme) et comment puis-je élaborer et vivre a fortiori ma propre sexualité. Voici une définition générique du transexualisme : "condition d’hommes comme de femmes sans anomalies biologiques constantes connues, qui ont le sentiment intense et pénible de ne pas être de leur sexe de naissance, mais d’appartenir au sexe opposé. Les transformations corporelles qu’ils demandent en conséquence aux chirurgiens plasticiens et aux endocrinologues portent sur les signes sexuels primaires et secondaires, et ont pour les transsexuels valeur de rectification. Aucun délire de type schizophrénique n’est détectable". Aucun des termes de cette définition n’échappe à la polémique. Aussi faut-il plus y voir un essai de caractérisation du problème que pose le transsexualisme, et non l’expression d’un consensus nosologique. Cette polémique se déploie en effet sur plusieurs axes : 1, Le premier est celui des principes. Car le transsexualisme est-il en fait une pathologie ? Faute de critères biologiques, faute aussi d’un accord entre psychiatres sur le statut de patients qui ne " délirent " que sur leur identité sexuelle, et qui semblent par ailleurs souvent d’une parfaite intégrité mentale. 2,Le second axe de désaccord est d’ordre clinique. A supposer que le transsexualisme soit une maladie, il se pourrait déjà qu’il y ait une fausse symétrie entre homme et femme : " changer de sexe " serait un attrape-tout masquant des différences importantes. Ensuite, la définition du syndrome présuppose la disjonction de l’identité sexuelle et de la préférence sexuelle, mais dans les faits, cette disjonction est peu claire, et on pourrait se demander si le transsexualisme n’est pas un artefact qui résulte de sa pseudo-évidence. 3,La dernière est philosophique. Précisément parce qu’il n’existe aucun critère biologique ni mental objectifs, le transsexualisme est une maladie auto-diagnostiquée, dont la thérapie (castration, reconstruction génitale à l’apparence du sexe opposé, et prise d’hormones) est auto-prescrite, et dont le résultat est auto-évalué. Autrement dit, tout y dépend de l’idée que médecins et patients se font ensemble du moi, de ses relations avec le corps, et de la nature ultime de la conscience de sa propre identité. Pour beaucoup, le transsexualisme est donc une folie, dans la mesure où il est tautologique d’être son propre corps (même si cela peut nous déplaire). Pour d’autres, la liberté de l’individu s’étend jusqu’aux manipulations les plus invasives, en conséquence de la self-ownership du corps et de la protection sacrée de la sphère privée. Car, qu’est-ce qui fait que certains médecins trouvent un certain sens dans un énoncé-type comme " Je suis une femme dans un corps d’homme " (ou l’inverse), et d’autres pas du tout ? Ce n’est pas une théorie médicale, c’est une conception du moi. faut-il donc en revenir au noyau élémentaire du problème transsexuel. Ce n’est pas, selon la formule courante, celui d’une " femme dans un corps d’homme " (ou, comme on trouvait au 19ème siècle, celui d’un " homme qui a une âme de femme "). C’est simplement la certitude d’abord négative de ne pas être " à sa place dans son corps ", à quoi s’ajoute de façon effectivement construite, et sans doute par suppléance, des identifications intenses à des images sexuées chéries. D’où la définition en deux temps proposée plus haut, qui sépare le sentiment de ne pas appartenir à son sexe de naissance (d’être hors-sexe) et celui d’appartenir au sexe opposé. A la limite ainsi, vouloir " changer de sexe " serait une manière " raisonnable " de surmonter un malaise bien plus profond et radical touchant l’existence dans son corps. Il reste que pour chacun, ce qui fait qu’il est un homme plutôt qu’une femme reste opaque ; ce qui pousse à accepter que d’autres puissent mieux savoir pour eux-mêmes de quoi il retourne. Enfin, parce qu’elle met en scène les idéaux universels de la liberté et du moi, la revendication transsexuelle contribue à rapprocher la question de la folie de son enracinement philosophique dans la déraison, que de sa version positive, objective et médicale, la psychose. (Ceci correcpond à l'anaylse faite sur ce sujet ayant été simplifié et vulgarisé). A vous...!
-------------------- Bismillahi Rahmani Rahime, Alhamdoulillahi rabi l'alamine, A rahmani Rahime, Maliki yawmiddine, Iyaka na'abodo wa iyaka nasta'ine, Ihdina siratal mostakime, Siratal ladina an'amta 'alayhime, Rayri l'maRdobi 'alayhime wa la da line. |
| cebe | | 437 messages postés |
| Posté le 19-02-2004 à 21:09:25
| Tu ne nous facilites pas le travail, toi dis donc! Pouvons-nous aborder les choses les unes après les autres? ainsi : qu'est-ce qui fait qu'une personne puisse se construire dans son sexe? Et qui dit construction dit matériaux venus de l'extérieur, aussi.
-------------------- Les lumières qui nous sont accordées sont si nombreuses que, même en le voulant, nous ne pourrions les gâcher toutes. Une ici ;) |
| | Posté le 19-02-2004 à 21:33:43
| Voyons les choses simplement. Un être normalement constitué n'est ni homme, ni femme. A l'adolescence, il se détermine. Mais en fonction de quoi? A un moment, il faut savoir se regarder en face. |
| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 19-02-2004 à 21:40:37
| Une personne ne peut se construire sans son sexe c'est un fait, mais il y a problème quand l'image que l'ont projette ne correspond pas à son moi prond. Cela soulève plusieurs problèmatiques qui sont d'ordre entre autre de la construction psychique. Le transsexualisme est un problème lié d’après moi à différentes modalités. D’une part on ne peut nier que le fait de se sentir femme alors que le corps que l’on a projette l’image est celui d’un homme peut engendrer souffrance et mal être, mais d’autre part on ne peut nier la complexité ainsi que la difficulté à s’assumer quelque soit sa condition originelle. Le fait que l’individu naisse bisexuel est matière à comprendre que d’une part la sexualité n’est pas un concept hermétique et définitif mais d’autre part que la construction psychique ne s’arrête pas a la fin de l’adolescence. Je pense que l’individu passe son temps à se chercher. Je ne crois pas que le problème d’identité sexuelle apparaisse à un âge déterminé d'ailleurs, mais qu’il est plus lié à un sentiment beaucoup plus profond qui remonte à la petite enfance. Le travail thérapeutique est je crois à ce moment important dans la mesure qu’il permet d’essayer de comprendre d’où vient ce sentiment de différence, de ne pas appartenir au bon sexe.
-------------------- Bismillahi Rahmani Rahime, Alhamdoulillahi rabi l'alamine, A rahmani Rahime, Maliki yawmiddine, Iyaka na'abodo wa iyaka nasta'ine, Ihdina siratal mostakime, Siratal ladina an'amta 'alayhime, Rayri l'maRdobi 'alayhime wa la da line. |
| | Posté le 19-02-2004 à 21:44:24
| Je ne suis pas expert. Mais la détermination de son appartenance tient en grande partie à des événements. Que ce soit sexuel ou autre. Pourquoi vouloir mettre le sexe à l'index? (comme disait je ne sais plus quel évêque au sujet du préservatif)? Notre sexe (physique) fait partie de nous. En changer, c'est changer ce que l'on est. Pourquoi certains pensent être quelqu'un d'autre? |
| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 19-02-2004 à 21:56:05
| Parce qu'il y a une problématique d'ordre inconscient entre l'image et son moi profond !. Comme quoi l'acceptation de soit ne coule pas forcement de source tao.
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| | Posté le 19-02-2004 à 22:06:46
| Mais ne pas accepter ce que l'on est est-il un choix? Si oui, c'est un suicide. Si non, c'est une erreur. |
| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 20-02-2004 à 10:08:29
| ----Mais ne pas accepter ce que l'on est est-il un choix? Si oui, c'est un suicide. Si non, c'est une erreur.---- réponse : Il me semble que tu simplifie le problème ou bien que tu le prends à l'envers tao. Il n'est pas question de posséder son corps, le possède t-on d'ailleurs ?. Mais d'etre en adéquation avec son moi profond. Imagine le désordre psychique de projeter une image que son moi refuse ou nie !. Cela va il me semble d'ailleurs bien plus loin qu'un simple refus d'une identité sexeullei. C'est une problématique qui dépasse également le choix de la sexualité (meme si foncièrement l'orientation sexuelle n'est pas un choix, choisit-on d'etre hétérosexuel ?). Le travail thérapeutique est extrèmement important dans la mesure qu'il permet de mettre des mots sur une inadéquation. On sait qu'en psychanalyse la projection est une modalité indispensable à la construction. Comment peut on etre bien lorsqu'on projette une image faussée du soi ?. Car la est le problème, l'image ne correspond pas à la réalié. Deux questions : 1, Comment peut on parvenir à etre sur que la projection in fine (c'est à dire apres l'opération chirurgicale) sera en proportion avec son moi ? 2, comment peut on appréhender son corps en sachant que l'on ne sait jamais de toute façon qui est on vraiment ?.
-------------------- Bismillahi Rahmani Rahime, Alhamdoulillahi rabi l'alamine, A rahmani Rahime, Maliki yawmiddine, Iyaka na'abodo wa iyaka nasta'ine, Ihdina siratal mostakime, Siratal ladina an'amta 'alayhime, Rayri l'maRdobi 'alayhime wa la da line. |
| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 21-02-2004 à 12:10:06
| "Un être normalement constitué n'est ni homme, ni femme. " >>>>>>>>>>>>>Un être physique normalement constitué possède pourtant soit des organes féminins soit des organes masculins. Mais peut-être que le comportement sexuel (le fait de se sentir homme ou femme) est déterminé par le cerveau. Un homme extérieurement masculin mais dont le cerveau est programmé de manière féminine se sentira femme. Certaines études auraient même montré qu'une certaine zone du cerveau des hommes homosexuels serait morphologiquement plus ressemblante à cette zone chez les femmes que chez les hommes. Mais il faudrait savoir si cette différence est innée (génétique... donc non modifiable) ou acquise (conditionnée par le vécu ... donc modifiable).
-------------------- ...à mon humble avis. #Atil |
| | Posté le 21-02-2004 à 13:37:20
| Pourquoi s'étonner de voir que des gens s'interrogent sur leur sexe, alors que nous avons la chance ici de cotoyer des gens qui se demandent déjà s'ils existent? |
| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 21-02-2004 à 14:19:47
| Atil, La problématique transsexualisme n'a rien à voir avec une autre problématique homoseuelle. Dans le premier cas il ya souffrance psychique du à une "anomalie" d'apparence, dans l'autre la souffrance pychique n'apparait qu'en raison de l'homophobie. On ne souffre pas d'etre homo, mais du regrd des autres.
-------------------- Bismillahi Rahmani Rahime, Alhamdoulillahi rabi l'alamine, A rahmani Rahime, Maliki yawmiddine, Iyaka na'abodo wa iyaka nasta'ine, Ihdina siratal mostakime, Siratal ladina an'amta 'alayhime, Rayri l'maRdobi 'alayhime wa la da line. |
| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 21-02-2004 à 19:24:57
| Je ne parlais pas des souffrances mais des pensées et sensations qui, chez certains, ne correspondent pas à celles qu'il est habituel d'avoir en fonction de son sexe (probablement à cause d'anomalies dans certaines zones du cerveau). Pour être un homme "normal" il faut avoir un corps d'homme, se sentir un homme et avoir des désirs sexuels d'hommes. Chez certains, une de ces trois composantes peut être dérèglée et correspondre à celle d'une femme. Et ce n'est pas facile à vivre.
-------------------- ...à mon humble avis. #Atil |
| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 21-02-2004 à 19:32:56
| Qui a un corps d'homme, se sent un homme et a des désirs sexuels d'hommes, est un homme "normal". Qui a un corps d'homme, se sent une femme et a des désirs sexuels d'hommes, est un homme attiré par le transexualisme. Qui a un corps d'homme, se sent un homme et a des désirs sexuels de femmes, est un homosexuel viril. Qui a un corps d'homme, se sent une femme et a des désirs sexuels de femme, est un homosexuel efféminé. Qui a un corps de femme, se sent une femme et a des désirs sexuels de femmes, est une femme "normale". Qui a un corps de femme, se sent un homme et a des désirs sexuels de femmes, est une femme attirée par le transexualisme. Qui a un corps de femme, se sent une femme et a des désirs sexuels d'homme, est une lesbienne de comportement féminin. Qui a un corps de femme, se sent un homme et a des désirs sexuels d'hommes, est une lesbienne de comportement viril.
-------------------- ...à mon humble avis. #Atil |
| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 21-02-2004 à 19:52:39
| N'importe quoi !. Un homosexuel n'a pas l'idée de se présenter comme une femme face a la sexualité"!. C'est un homme qui aime les hommes et non un homme qui se sent femme. Il se sent homme !. Va un peu parler avec les gays et tu verras bien !. AHHhhhh la norme hétérosexuelle tout puissante !.
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| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 21-02-2004 à 20:54:27
| "C'est un homme qui aime les hommes et non un homme qui se sent femme. Il se sent homme !. " --------> Ca dépend quels homosexuels ! Certains se sentent hommes et certains se sentent femmes. J'ai connu les deux (pas bibliquement ) La polarité du désir et la polarité du ressenti sont deux choses indépendantes. On peut être polarisé de manière différente dans son ressenti et dans son désir.
-------------------- ...à mon humble avis. #Atil |
| | Posté le 21-02-2004 à 21:16:58
| Ne mélangeons pas tout. Ce que vous appelez "homosexualité" n'est qu'une forme différente de sexualité de la norme. Personnellement, je ne suis pas capable de parler de cela. En êtes-vous capables? (Avoir les capacités de) |
| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 22-02-2004 à 09:41:12
| ----Certains se sentent hommes et certains se sentent femmes.---- réponse : Nous n'avons pas connu les mêmes alors !. Ce qui prouve du reste que ta petite théorie ne tient pas comme définition générale.
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| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 22-02-2004 à 12:48:37
| J'ai travaillé dans des milieux artistiques ou les homosexuels étaient trés nombreux. Certains étaient trés virils. D'autres étaient trés efféminés. Une de nos femmes de ménage était un(e) transexuel(le). C'est pourquoi je pense qu'avoir un corps de femme, se sentir femme et avoir des désirs de femme, ce sont trois choses différentes qui se retrouvent souvent ensembles (chez les hétéros) mais pas forcément toujours. Il est probable que "se sentir de tel sexe" et "avoir les désirs de tel sexe" sont programmés par deux zones différentes du cerveau.
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| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 22-02-2004 à 13:08:12
| Ceci dit on fait ici comme je m'y attendais une réduction entre transsexualisme et homosexualité, alors que ca n'a rien à voir !.
-------------------- Bismillahi Rahmani Rahime, Alhamdoulillahi rabi l'alamine, A rahmani Rahime, Maliki yawmiddine, Iyaka na'abodo wa iyaka nasta'ine, Ihdina siratal mostakime, Siratal ladina an'amta 'alayhime, Rayri l'maRdobi 'alayhime wa la da line. |
| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 22-02-2004 à 13:16:44
| C'est pourtant bien ce que je dis : Ca n'a rien à voir car ce sont deux choses différentes. Mais cela ne veut pas dire que ces deux choses soient exclusives : On peut être transexuel et hétéro ... mais on peut aussi être transexuel et homo.
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| Kamel | wech wech wech | | 589 messages postés |
| Posté le 22-02-2004 à 13:29:08
| exact, mais au niveau des problèmatiques , elle sont et demeurent différentes.
-------------------- Bismillahi Rahmani Rahime, Alhamdoulillahi rabi l'alamine, A rahmani Rahime, Maliki yawmiddine, Iyaka na'abodo wa iyaka nasta'ine, Ihdina siratal mostakime, Siratal ladina an'amta 'alayhime, Rayri l'maRdobi 'alayhime wa la da line. |
| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 22-02-2004 à 13:59:09
| Il est trés probable que notre identité sexuelle (tant physique que mentale) soit fondée sur de trés nombreux paramètres différents. Et rien n'oblige que tous soient forcément paramétrés sur le même sexe. On peut agir en homme, penser en femme, désirer en homme, s'habiller en femme, etc... Il est même possible que posséder à la fois des éléments masculins et féminins soit une richesse. Etre homme ou femme à 100% se serait voir les choses d'un seul coté : ce serait limitatif.
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| | Posté le 23-02-2004 à 22:11:44
| Le yin est féminin, le yang masculin. Mais il y a toujours une part de yin dans le yang, et de yang dans le yin. D'ou ce symbole. |
| Atil | | 35614 messages postés |
| Posté le 23-02-2004 à 22:36:58
| Certaines études auraient montré que les humains les plus intelligents sont souvent ceux qui sont peu polarisés sexuellement. C'est à dire ceux qui ont à la fois des qualités masculines et féminines. ....et puis ca m'arrange
-------------------- ...à mon humble avis. #Atil |
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