Sujet :

L'utilité des femmes

PizzaMan
   Posté le 26-05-2007 à 15:07:45   

Les femmes ont une seule fonction valable dans la nature : porter l'humanité dans leur matrice.

Pour le reste, c'est superflu.
Membre désinscrit
   Posté le 26-05-2007 à 15:56:34   

alors c'est que :

Les hommes ont une seule fonction valable dans la nature : engendrer l'humanité dans la matrice.

Pour le reste, c'est superflu.
PizzaMan
   Posté le 26-05-2007 à 15:59:46   

Les hommes bâtissent aussi des empires, créant la science, les lettres, la peinture classique, l'architecture, la musique classique, l'art de vivre. Rien que ça...
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 16:36:21   

Et tout ca ca ne sert à rien.

La fonction des hommes et ds femmes c'est juste de se reproduire.

Et cela permet aux gèns de se répendre.

Nous ne sommes que des sortes da machines dont la fonction est de permettre aux gènes de se multiplier.

Parfois même les virus s'introduisent dans ces machines afin de les pirater et de s'en servir pour répliquer aussi leurs propres gènes.

Du point de vue de la nature nous ne servons qu'à ca.

Et si nous faisons plein d'autres choses qui ne nous aident pas dans cette fonction, ce ne sont que des choses sans importance.
PizzaMan
   Posté le 26-05-2007 à 16:38:22   

Suivant ton raisonnement, l'humanité est un virus pour la nature dans ce cas. Alors autant dire que l'humanité elle-même ne sert à rien. Tu ne penses pas ?
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 17:58:47   

Je parlais en fait du point de vue de l'espèce humaine : chaque humain n'est qu'une machine à recopier et disperser des gènes.
Du point de vue de la totalité de la nature, les humains se comportent actuellement comme des êtres nuisibles et destructeurs. Ils sont comme des virus pathogènes ou un cancer qui se répend.
Trotmany
   Posté le 26-05-2007 à 18:03:03   

Ton monde est bien triste Atil.
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 18:06:53   

Je ne parle pas de mon monde mais du point de vue de la nature.

Quand on regarde le monde en prenant un autre point de vue que le sien, tout parrait toujours trés triste. Car notre moi égoïste cesse alors d'être vu comme le centre du monde.
PizzaMan
   Posté le 26-05-2007 à 18:12:35   

Et comment fais-tu pour te mettre du point de vue de la nature ? Tu te déguises en un putain d'arbre ?
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 18:33:36   

Le raisonnement suffit.
PizzaMan
   Posté le 26-05-2007 à 18:46:58   

Il y a quelque chose que l'on nomme «filtre» qui influence à coup sûr notre raisonnement aussi.
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 19:12:50   

La thèse que je présentais était celle du livre "le gène égoïste".
Le filtre mental de l'auteur est "notre vie ne suit pas un but voulu par un Dieu", je suppose.
Trotmany
   Posté le 26-05-2007 à 19:52:06   

Comment peut-on se poser sur quelque chose dont on n'a pas connaissance?

Message édité le 26-05-2007 à 19:54:08 par Trotmany
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 20:19:02   

Ou vois-tu qu'on se pose sur une chose dont on n'a pas connaissance ?
Ici l'auteur se pose juste sur ce qu'il connait.
Et il refuse d'envisager autre chose.
Mais de toute facon, même s'il le voulait, il ne le pourrait pas envisager autre chose puisque Dieu est inconnu.
Trotmany
   Posté le 26-05-2007 à 21:22:43   

Alors, il s'appuie bien sur ce qu'il ne connaitra jamais.


Un couloir est dans la pénombre, l'autre dans la clarté.
Rien ne se révèle du premier, sans devoir y pénétrer.
L'autre, de bout en bout, est connu et fréquenté.

Celui qui emprunte le premier couloir est un idiot.
Heureux soit-il, car il entend sa voix.

Quelle satisfaction apporte la connaissance du deuxième?
N'est-il pas plus séant à l'observateur de rester là à l'admirer dans sa totalité?
Atil
   Posté le 26-05-2007 à 22:23:39   

Si l'auteur refuse d s'appuyer sur Dieu, alors on ne peut pas dire qu'il s'appuie sur ce qu'il ne connait pas :
Il ne s'appuie au contraire que sur ce qu'il connait et refuse de s'appuyer sur ce qu'il ne connait pas.
On ne peut raisonner que sur les données qu'on a en main.

Mais s'appuyer sur des données incomplète c'est aller vers l'erreur possible.
Et s'appuyer sur ce qu'on ignore c'est s'égarer.
Quoi qu'on fasse nos connaissances sont donc fragiles.
Trotmany
   Posté le 26-05-2007 à 22:42:49   

L'auteur ne s'appuie pas sur dieu.
Il estime l'importance du Chemin.
L'erreur est bien plus manifeste.

S'il ne l'éprouve pas,
comment peut-il savoir où il mène?
S'il n'est pas allé à Sa rencontre,
comment connaitre Sa présence?

Or, c'est bien de cela que l'on parle :
"notre vie ne suit pas un but voulu par un Dieu".
En somme : tout, mais pas lui...

Curieux paradoxe.



A celui qui crie dans le désert :

Femelles et mâles ont pour voie de devenir Homme.
Même si le mouvement de création fait partie du Chemin, il n'est pas tout.

Message édité le 26-05-2007 à 22:47:05 par Trotmany
PizzaMan
   Posté le 26-05-2007 à 22:53:06   

Non Trotte-marie, s'il te plaît, pas de ça ici.
On privilégie les contre-arguments plutôt.
Trotmany
   Posté le 26-05-2007 à 23:09:28   

Si tu veux.

Au lieu de voir ce qui différencie la Vie, peut-être serait-il profitable à notre réflexion de voir ce qui est semblable.

Le minéral n'a pas de volonté et ne peut enfanter. Pourtant, la pierre est là et elle nargue le temps qui passe.
L'animal n'a qu'une volonté, celle d'enfanter. Pourtant, le moustique est là et il nargue le temps qui passe.
L'humain a une volonté qui lui est propre et peut enfanter. Pourtant, il est là et il fuit le temps qui l'oppresse.

Aucune de ces trois caractéristiques ne fait la Vie (ou la "nature" dans vos développements). Etre ou ne pas être n'appartient pas uniquement à la reproduction.

Message édité le 26-05-2007 à 23:10:08 par Trotmany
Atil
   Posté le 27-05-2007 à 11:25:37   

Pour s'appuyer sur Dieu, il faudrait d'ébord démontrer son existance.
Et encore , ce ne suffirait pas : Il faudrait aussi comprendre Dieu.
Donc, pour l'instant, il est impossible à quiconque de baser quoi que ce soit sur Dieu.
On ne peut donc que raisonner sans tenir compte de l'"hypothèse d'une volonté divine".
Est-ce que ca suffit ?
Est-ce que ca ne suffit pas ?
On n'en sait rien pour l'instant.
Trotmany
   Posté le 27-05-2007 à 12:49:18   

C'est une position qui ne pourra jamais être dépassée.


Si je souhaite démontrer la gravité à un compagnon, il faudra d'une part que je fasse tomber une pomme, mais aussi que j'indique à mon compagnon où et quoi regarder pour qu'il se rende compte du phénomène.

S'il ne regarde pas au bon endroit au bon moment, il ne verra pas la pomme tomber. Il n'acceptera pas ma démonstration de la gravité. Lui imposer cette démonstration sans qu'il ait pu l'expérimenter, la ressentir, est une aberration.

De la même manière, ceux qui L'expliquent sans s'assurer que l'auditoire ait fait Sa rencontre, sont dans l'erreur. On ne peut Le connaitre qu'en faisant soi-même Sa con-naissance. Après seulement, il peut y avoir échange.

Or, si on élimine l'hypothèse "dieu" dès le départ parce qu'elle est risquée, on est dans une impasse. Alors, bien sûr, on ne Le connaitra jamais. Alors, bien sûr, ce ne sera pas un roc sur lequel s'appuyer.
Atil
   Posté le 27-05-2007 à 14:02:54   

Eliminer Dieu arbitrairement dés le départ est une absurdité.
Le poser arbitrairement dés le départ est également une absurdité.
Pour l'instant nous ne savons rien de Dieu, donc nous ne pouvons pas tenir compte de lui (ou de son absence) pour expliquer quoi que ce soit.
Alors autant ne pas en parler.
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 00:59:17   

Dieu existe au travers de ceux qui croit. Moi, je ne crois pas en dieu.

Cependant, je peux constater tous les ravages que l'humanité fait à l'environnement. Et si la nature est l'oeuvre de Dieu(x), pourquoi laisse-t-il les humains la saccager. Si le bon dieu existe, il doit exister un mauvais dieu qui est son égal. De lui, on ne parle jamais. Et de nos jours, la volonté du mauvais dieu semble être la règle. Est-ce à dire que le bon dieu a perdu son pari.
PizzaMan
   Posté le 29-05-2007 à 01:37:29   

«Dieu existe au travers de ceux qui croit»...

<o> Et le Père Noel, il existe «au travers» de ceux qui croient en lui ?


«Et si la nature est l'oeuvre de Dieu(x), pourquoi laisse-t-il les humains la saccager»...

<o> Peut-être parce que Dieu laisse le libre-arbitre aux hommes. Si Dieu intervenait à chaque fois que l'homme fait une connerie, il n'y aurait plus d'humanité, mon grand.
Et puis, la nature se rebelle bien contre l'homme de toute façon. Et bla bla bla, bla bla bla, et bla bla bla...



«Et de nos jours, la volonté du mauvais dieu semble être la règle. Est-ce à dire que le bon dieu a perdu son pari»...

<o> Pour quelqu'un qui se targue publiquement de ne pas croire en Dieu, je trouve que tu en parles déjà trop, mon p'tit vieux. Dans ce seul post, tu viens de prononcer le mot «dieu» au moins 7 fois ! Si tu n'y croyais pas, la question ne t'intéresserait pas.

Donc, il se peut fort bien que pour certains athées, plus ils parlent de Dieu, plus il sont sur le point d'y croire.
Atil
   Posté le 29-05-2007 à 07:20:32   

Même "Je ne crois pas en Dieu" est encore une croyance.
Trotmany
   Posté le 29-05-2007 à 13:26:40   

Cependant, je peux constater tous les ravages que l'humanité fait à l'environnement. Et si la nature est l'oeuvre de Dieu(x), pourquoi laisse-t-il les humains la saccager.

Moi, je ne crois pas en l'environnement. Si l'environnement existait réellement, il se rebellerait certainement avec tout ce que l'homme lui fait subir. N'est-il pas?


Si le bon dieu existe, il doit exister un mauvais dieu qui est son égal.

Exactement. Ce pourquoi le bon dieu n'existe pas.


Et de nos jours, la volonté du mauvais dieu semble être la règle. Est-ce à dire que le bon dieu a perdu son pari.

Je comprends pourquoi tu ne crois pas en dieu. Et je t'incite à continuer.


Et le Père Noel, il existe «au travers» de ceux qui croient en lui ?

Evidemment. Tous les parents réunis forment le Père Noel. ^^ Pour le plus grand bonheur de la société de consommation.
Atil
   Posté le 29-05-2007 à 14:39:42   

Donc tous les hommes réunis pourraient former Dieu ?
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 17:59:25   

Le "je ne crois pas en dieu" est effectivement une croyance. C'est celle de l'athéisme. Je rejette toute notion de dieu exta-terrestre (en dehors du monde) pour la simple raison que voici:

Croire en dieu, nous éloignent de notre responsabilité terrestre et de celle qu'on a de mener à bien notre propre vie. Croire en une après-vie c'est comme se donner soi-même une seconde chance et je n'y crois pas. Si l'humanité continue de tout détériorer, elle signera elle-même son arrêt de mort.

Croire que la nature se rebelle contre l'homme c'est de l'anthropomorphisme. La nature n'a pas de volonté, son action est le fruit du hasard et des lois de la physique. Parler de dieu n'est pas croire en lui et j'aime mieux voir un athée se remettre en question chaque matin, qu'un croyant qui ne doute point. S'affirmer est, selon moi, une chose saine.

Les croisades, les jihad sont le fruit de gens qui croit aveuglément. J'aime mieux être un athée pacifiste c'est une question de choix et non de foi.
Trotmany
   Posté le 29-05-2007 à 18:11:52   

Donc tous les hommes réunis pourraient former Dieu ?

Dieu créa l'Homme à son image,
à l'image de Dieu Il le créa ;
mâle et femelle Il les créa.

Genèse 1 ; 27

Certaines traditions ésotériques en retiennent qu'effectivement, l'Homme est l'image de Dieu. J'ai mis une majuscule au nom puisqu'il s'agit bien d'une entité particulière constituée du mâle et de la femelle. Par soucis de facilité, on l'a dénommée Adam Kadmon, l'androgyne alchimique. Adam Kadmon est l'association d'Adam et d'Eve, le dépassement de la dualité.

Dans cette perspective, croire en Elle (Lui) tombe sous le sens.
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 18:22:36   

Si tous les humains (hommes et femmes) faisaient la volonté de dieu sauf un(une). Faudrait-il le tuer pour réaliser dieu.
Trotmany
   Posté le 29-05-2007 à 18:55:52   

Ta pensée est un vieillard rigide et vouté. Si on lui demande de faire un pas, tous ses os crissent et s'effritent dans l'effort.

Si tous les humains (hommes et femmes) faisaient la volonté de dieu sauf un(une). Faudrait-il le tuer pour réaliser dieu.

Réponds à cette question et je répondrai à la tienne :
Si tous les cultivateurs d'un champ travaillent dur pour produire du vin, sauf un(une). Faudrait-il le tuer pour réaliser le vin?


Je rejette toute notion de dieu exta-terrestre (en dehors du monde)

Est-ce que ça veut dire que tu ne rejettes pas la notion d'un dieu terrestre?


Croire en dieu, nous éloignent de notre responsabilité terrestre et de celle qu'on a de mener à bien notre propre vie.

"responsabilité terrestre", c'est-à-dire qu'il existe une autre forme de responsabilité? Comment mène-t-on à bien sa propre vie? J'ai l'impression que tu confonds "croire en dieu" et pratiquer des rites. Qu'en penses-tu?


Croire que la nature se rebelle contre l'homme c'est de l'anthropomorphisme.

Croire qu'Il se rebelle contre l'homme, c'est de l'anthropomorphisme.


Parler de dieu n'est pas croire en lui et j'aime mieux voir un athée se remettre en question chaque matin, qu'un croyant qui ne doute point.


" Le "je ne crois pas en dieu" est effectivement une croyance. C'est celle de l'athéisme. " DeMars

Message édité le 29-05-2007 à 18:58:20 par Trotmany
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 20:02:00   

Le cultivateur qui ne travaille pas doit être mis à la porte. L'être humain n'a pas besoin de dieu pour se réaliser lui-même. Croire en dieu est une faiblesse, croire en l'homme est une force. Dieu ne peut pas se rebeller contre l'homme, il n'existe pas et je n'ai pas besoin de preuve. Si toi, tu crois en dieu bien tant mieux pour toi. Moi, je n'ai pas de troisième oeil pour le voir. Tant pis. La religion enchaîne l'être humain, l'éthique est mon outil à moi.

Toi, maintenant, qui croit réponds à ma question, Que doit-on faire de ceux qui ne veulent pas réaliser dieu.
Atil
   Posté le 29-05-2007 à 20:37:57   

"Certaines traditions ésotériques en retiennent qu'effectivement, l'Homme est l'image de Dieu. "

>>>>>Ou alors c'est l'homme qui se crée un dieu à son image.
C'est encore de l'antropomorphisme.
Trotmany
   Posté le 29-05-2007 à 20:48:57   

Le cultivateur qui ne travaille pas doit être mis à la porte.

"Les corporations professionnels sont des chasses-gardés, elles sont anti-démocratiques et excluent quiconque ne respecte pas leurs ordres."


Croire en dieu est une faiblesse, croire en l'homme est une force.

"Cependant, je peux constater tous les ravages que l'humanité fait à l'environnement."
"Si l'humanité continue de tout détériorer, elle signera elle-même son arrêt de mort."


Dieu ne peut pas se rebeller contre l'homme, il n'existe pas et je n'ai pas besoin de preuve.

"Il faut aussi parfois se remettre en questions et ne rien prendre pour acquis. "


Toi, maintenant, qui croit réponds à ma question, Que doit-on faire de ceux qui ne veulent pas réaliser dieu.

Rien. Ils se punissent eux-mêmes.

Le cultivateur qui ne travaille pas s'exclut du processus de fabrication du vin. Il lui est étranger. Quel sens prend la vie d'un cultivateur qui ne cultive pas?

Message édité le 29-05-2007 à 20:50:31 par Trotmany
Trotmany
   Posté le 29-05-2007 à 21:02:37   

>>>>>Ou alors c'est l'homme qui se crée un dieu à son image.
C'est encore de l'antropomorphisme.


Si je dis que Marcel est un humain, je fais de l'anthropomorphisme?
Atil
   Posté le 29-05-2007 à 21:26:10   

Dieu ce serait donc l'Homme ?
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 22:44:39   

Et de quelles punitions sommes-nous affligées.Je n'ai pas besoin de mortification ni de purification par le feu pour affirmer ma foi. Jésus l'a dit lui même: il est le fils de l'Homme, non le fils de dieu.

Méfiez-vous de ces enchaîneur divin, il ne veulent pas votre bien, il veulent votre volonté. Ils veulent vous dominez. Il veulent vous asservir. Vade retro Satanas.
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 23:06:52   

Marcel est un anthropos, il est évident qu'il en a le morphos. un peu de grec te ferait le plus grand bien. Le pape est un anthropos, le Dalaî-Lama est un anthropos, etc...
DeMars
   Posté le 29-05-2007 à 23:25:32   

L'ésotérisme est une pépinière a gourou. Et ceux-ci sont des manipulateurs. Ils inventent une pseudo vérité de troisième ordre. Ils tentent de neutraliser ceux qui ne pensent pas comme eux.

Je crois en moi et toi, crois en toi. Les grands prêtres de tout accabit ne veulent pas servir le faible, il veulent se faire servir par ceux-ci.
Trotmany
   Posté le 29-05-2007 à 23:55:02   

Je n'ai pas besoin de mortification ni de purification par le feu pour affirmer ma foi.

Lui/Elle non plus...
" C’est la miséricorde que Je (Dieu) veux et non les sacrifices et la connaissance de Dieu et non les holocaustes. " Osée 6, 6

" (Jésus parle : ) Mais l’heure vient, elle est là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; tels sont, en effet, les adorateurs que cherche le Père. " Jean 4, 23


Jésus l'a dit lui même: il est le fils de l'Homme, non le fils de dieu.

J'ai mal.
Tu ressens l'essentiel, mais tu ne l'intègre pas.
Pourquoi?
Par le plus grand des hasards... Suivrais-tu un cursus en psychologie?


Vade retro Satanas.

Si tu crois à satan...


Marcel est un anthropos, il est évident qu'il en a le morphos. un peu de grec te ferait le plus grand bien. Le pape est un anthropos, le Dalaî-Lama est un anthropos, etc...

La discussion ne se situe pas sur ces termes dissociés.

Marcel est un anthrôpos, certes. Mais dire que Marcel est un homme n'est pas faire preuve d'anthropomorphisme.

anthrôpos + morphê + -isme
homme + forme + suffixe qui marque l'adhésion dans un substantif

Pour que ce soit le cas, il faut avoir le choix d'adhérer ou non à une vision qui ramène une observation dans des caractéristiques humaines.


Dieu ce serait donc l'Homme ?

La réponse ne se trouve plus dans la raison, mais dans la foi. A toi de l'accepter ou non. Je ne peux que te proposer.

" Je ne prie pas seulement pour eux (les disciples), je prie aussi pour ceux qui, grâce à leur parole, croiront en moi : que tous soient un comme toi, Père, tu es en moi et que je suis en toi, qu’ils soient en nous eux aussi , afin que le monde croie que tu m’as envoyé. " Jean 17, 20-21

Message édité le 30-05-2007 à 00:04:47 par Trotmany
Trotmany
   Posté le 30-05-2007 à 00:04:15   

hihi De Mars... Je suis un homme, pourtant je ne te comprends pas.

A ton avis, ton argument est-il suffisant pour rendre inintelligible mon développement?
ZaQieL
   Posté le 30-05-2007 à 00:59:34   

Allons, une autre discussion de sourds! Tout le monde sait bien, DeMars, qu'il est inutile de discuter avec des croyants. Laisse-leurs donc leurs béquille et toi, continue d'avancer.

Notre ami Trot a besoin de croire en ce livre truffé de mensonges et de contrefaçons, et après? C'est son droit le plus strict et ça n'en fait pas une moins bonne personne pour ça. Je le connais quelque peu et je peux affirmer que c'est un être intelligent et doué. Laisse-lui sa "faiblesse", ça ne le rends que plus attachant.

Personne n'est parfait...excepté "Dieu" peut-être!

ZaQieL
Trotmany
   Posté le 30-05-2007 à 02:27:12   

Ralala, ZaQieL et ses reprises scabreuses. Et pourtant, c'est le genre de réponse qui plait aux filles et aux mecs esseulés. Analysons...

Toujours poli, toujours calculé. Quoi qu'il dise, il s'arrange pour que la critique n'excède pas les compliments bisounours assénés par derrière les fagots. ZaQuieL, c'est un peu le coup de couteau et la main qui vient le soigner. Il oeuvre dans un grande perfection, qui touche chaque détail. Jusqu'au : Personne n'est parfait...excepté "Dieu" peut-être! qui ne paye pas de mine. Beaucoup de certitudes, mais peu d'intérêt en définitif.

L'ange dévoyé sait-il où se situe à présent sa volonté? Où reste-t-il prostré derrière sa protestation? A-t-il une réponse à donner au rôle de la femme en ce bas-monde, qui ne conduise à la fornication orgiaque ?

Message édité le 30-05-2007 à 02:28:21 par Trotmany
DeMars
   Posté le 30-05-2007 à 04:52:48   

La place des femmes dans la société est la même que celle des hommes. Considérez les femmes comme inférieur ou supérieur n'est pas leur rendre service.
Atil
   Posté le 30-05-2007 à 06:53:00   

"La réponse ne se trouve plus dans la raison, mais dans la foi. A toi de l'accepter ou non. Je ne peux que te proposer. "

>>>>>Pourquoi devrait-on accepter une proposition qui n'est pas démontrée ?
Tout le monde sait bien qu'il y a énormément de faux-gourous qui demandent qu'on ait une foi absolue en leurs paroles. Ca leurs permet d'imposer nimporte quelle idée sans avoir à rien démontrer.
A-t-on une seule preuve que la foi soit autre chose qu'un délire mental ?
PizzaMan
   Posté le 30-05-2007 à 11:39:10   

Je veux bien croire aux extra-terrestres

Je veux bien croire aux p'tits gris

Je veux bien croire au père noel

Je veux bien croire au croque-mitaines

Je veux bien croire aux Schtroumphs

Je veux bien croire en Dieu

Mais putain, si tout cela était vrai ça ne servirait pas davantage. Sauf peut-être à nous conforter dans nos croyances, mais sans pour autant avoir mis en application la sagesse de Dieu par-exemple. Mais au lieu de cela certains comme Trotte-marie aiment bien crâner à propos de spiritualité.
Atil
   Posté le 30-05-2007 à 12:05:29   

Pour moi la spiritualité n'a rien à voir avec la croyance en Dieu.
Nous ne savons rien de Dieu, alors s'occuper de lui est une perte de temps. C'est de nos frêres humains que nous devons nous préoccuper.
Trotmany
   Posté le 30-05-2007 à 13:11:23   

A-t-on une seule preuve que la foi soit autre chose qu'un délire mental ?

Je t'invite à lire : DR VIGNE J., Soigner son âme, méditation et psychologie , Albin Michel, Paris, 2007. Ce psychiatre est plus spécialiste que moi pour répondre à cette question.


Pour moi la spiritualité n'a rien à voir avec la croyance en Dieu.
Nous ne savons rien de Dieu, alors s'occuper de lui est une perte de temps. C'est de nos frêres humains que nous devons nous préoccuper.


"Un sage, désirant l'immortalité, retourne son regard vers soi-même" Katha Oupanishad, 4-1

Je ne comprends pas le problème que vous avez avec ce mot : Dieu. Pourtant, il s'agit d'un simple mot. Un mot qui ne vous parle pas apparemment. Nos entretiens seraient-ils moins enclin aux préjugés si je le remplaçait par Homme? Parce que pour moi, c'est du pareil au même...


Mais au lieu de cela certains comme Trotte-marie aiment bien crâner à propos de spiritualité.

J'essaye juste de partager mes pseudo-découvertes. Ne t'en fais pas mon chou, je pense avoir fait le tour de ma question et reprendre la poésie n'est pas à l'ordre du jour. Elle semble faire fuir les gens, alors autant ne pas s'égosiller pour que dalle.



Tiens, le contact avec un livre paraitra peut-être moins suspect...
Edelmann E., Jésus parlait araméen, Le message du Christ retrouvé au coeur du plus vieil Evangile , Les Editions du Relié, Saint-Amand-Montrond, 2005
(un docteur en philo qui réinvesti l'interprétation des Evangiles)

MALLASZ G., Dialogues avec l'Ange, édition intégrale, Aubier, Mayenne, 2007
(pour ceux qui n'ont pas peur de la poésie, uniquement)

DR VIGNE J., Soigner son âme, méditation et psychologie , Albin Michel, Paris, 2007
(psychiatre qui livre une synthèse sur ses recherches conduites autour de la biochimie de la croyance et des effets psychosomatiques réels des diverses formes de méditation)

Message édité le 30-05-2007 à 13:21:55 par Trotmany
Atil
   Posté le 30-05-2007 à 20:23:07   

"Je ne comprends pas le problème que vous avez avec ce mot : Dieu. Pourtant, il s'agit d'un simple mot. Un mot qui ne vous parle pas apparemment. "

>>>>C'est justement ca le problème : Il ne s'agit que d'un mot, et on ne sait rien de ce qu'il désigne. Comment l'employer alors que les gens ne sont même pas d'accord sur ce qu'il signifie ? C'est un mot qui représente on ne sait pas quoi, dont on ignore les propriétés et dont on ignore même s'il existe.



"Nos entretiens seraient-ils moins enclin aux préjugés si je le remplaçait par Homme? Parce que pour moi, c'est du pareil au même..."

>>>>L'homme, au moins, on sait des choses sur lui. On en a une expérience directe.
Dieu est-il donc vraiment l'homme ?




"Tiens, le contact avec un livre paraitra peut-être moins suspect...
Edelmann E., Jésus parlait araméen, Le message du Christ retrouvé au coeur du plus vieil Evangile , Les Editions du Relié, Saint-Amand-Montrond, 2005"

>>>>Il y a des sites Web qui donnent un résumé de ce livre, qui expliquent un peu plus en détail ce qu'il dit ?
DeMars
   Posté le 30-05-2007 à 22:13:57   

Éric Edelmann, 2000, Jésus parlait araméen, Gordes (France), Relié, 461 p.



L’ouvrage est présenté comme une " enquête serrée sur les Évangiles ". Il n’en est rien. Jésus parlait probablement araméen, mais il est faux de croire que la Peshitta puisse être d’une aide précieuse dans la recherche des enseignements authentiques de Jésus et afin de contrecarrer les glissements de sens qu’auraient subi les évangiles canoniques. C’est pourtant la position de l’auteur, qu’il justifie par une argumentation qui tient sur quatre pages (p. 22-25) et qui se résume à supposer l’existence d’un texte araméen oral (sic) ou écrit antérieur aux évangiles canoniques que la Peshitta refléterait (p. 22-23). Rappelons que la Peshitta, rédigée au Ve siècle, est une révision de la Vieille Syriaque à partir du texte grec des évangiles. Pourquoi les exégètes du NT ne prennent-ils pas en considération cet écrit ? C’est que selon l’a., ces spécialistes, " du fait de leur formation, ne travaillent que sur le grec " (p. 23).

Mais le recours à la Peshitta n’est qu’un prétexte permettant à l’a. de proposer une interprétation personnalisée des évangiles qui, selon lui, " recèlent un enseignement initiatique et ésotérique " (p. 125). Car Jésus a été un maître spirituel et mystique exceptionnel — d’ailleurs plusieurs sages indiens l’affirment (p. 14 ss.). Et puisqu’il s’agit d’un enseignement ésotérique, celui qui en découvrira l’interprétation juste " pourra finalement se rendre libre ", c’est-à-dire, aura accès au salut (p. 19). " Pour s’orienter dans ce dédale [que sont les évangiles], il est utile d’avoir parfois recours aux travaux des spécialistes " ; mais, selon l’a., " une intuition plus fine permet néanmoins de retenir certains éléments qui entrent en concordance avec notre réalité intérieure, un peu à la manière d’une personne qui, sensible à la dimension spirituelle, serait en mesure, parmi tous les objets exposés dans un magasin d’antiquités, de repérer les pièces ayant le plus de valeur " (p. 26). Il serait beaucoup trop long et de toute façon parfaitement inutile de relever toutes les brillantes idioties auxquelles donne lieu cette " méthode " tout le long de l’ouvrage. Du mont des Oliviers qui est en nous (p. 29), à l’impossibilité d’une annonce par Jésus d’un royaume futur en contradiction avec " la mystique universelle " (p. 409 ss.), le tout bien saupoudré de traditions bouddhistes et hindoues, comme ce recours à la " maîtrise des énergies subtiles " par des maîtres tibétains pour éclairer la résurrection du Christ (p. 425).

Cet ouvrage est un bon exemple de ce que peut donner une lecture des évangiles dans la perspective d’une quête spirituelle qui accorde peu de place à l’esprit critique. Dans cette perspective, tout peut servir à dire n’importe quoi.

Chrystian Boyer

Université du Québec à Montréal
Trotmany
   Posté le 31-05-2007 à 08:26:49   

Cette réponse de Chrystian Boyer montre bien combien on peut être ignorant en ce qui concerne les Textes. On les confond trop souvent avec un récit historique. Dernièrement, des archéologues se sont mis en tête de démonter la Bible en faisant des fouilles... Jouissif au niveau de l'histoire. Pathétique au niveau du sens. Curieusement, si on se pose un peu sur ce Chrystian Boyer, on apprendra que...

"Ni la philosophie, ni la théologie n'est ma branche, je ne peux donc pas juger de la compétence d'Allan Watts en ces domaines. Je travaille sur l'histoire des origines du christianisme, en particulier sur le personnage historique de Jésus, et à, ce que je sache, Allan Watts n'est pas un chercheur ayant travaillé sur la question."


Celui qui affirme que l'histoire de Jésus n'est pas ésotérique, qu'elle n'est pas spirituelle ou mystique n'a fait des évangiles qu'une lecture traditionnelle, bien rangée, conforme à la dogmatique : on dit alors d'elle qu'il s'agit d'une lecture fondamentale. Et le fondamentalisme, c'est vraiment pas cooool! OOOh non!

Il existe des ressources pour les instituteurs de religion et tous ceux qui ont la charge de transmettre le christianisme aux enfants. Une de ces méthodes très utilisée s'appelle : Catéchèse biblique symbolique de Claude et Jacqueline Lagarde. On y retrouve nombre d'associations entre la vie de Jésus et la mystique.

Ces choses considérées comme "ésotériques" sont en fait enseignées aux enfants de primaire en Belgique depuis des années. Alors pourquoi continuer à se voiler la face?

La vie de Jésus est initiatique. Dans cette perspective, même sa mort l'est. Même sa résurrection. Il serait temps que les gens ouvrent leurs yeux : croyants et non croyants.



C'est justement ca le problème : Il ne s'agit que d'un mot, et on ne sait rien de ce qu'il désigne. Comment l'employer alors que les gens ne sont même pas d'accord sur ce qu'il signifie ? C'est un mot qui représente on ne sait pas quoi, dont on ignore les propriétés et dont on ignore même s'il existe.

Oui, je sais. J'essaye franchement de vous transmettre une définition moins puritaine de ce mot. J'essaye même de l'éviter, d'introduire la confusion avec des Il, des Elle... Mais rien n'y fait.

Le problème, c'est que l'on reste attaché à sa vision ; chose normale après tout. Exemple : DeMars qui ne croit pas en Dieu croit au diable. Il ne croit pas au dieu qui est anthropomorphe, qui rabaisse, qui opprime, qui est au ciel, qui oblige à aller à la messe se faire chier, qui oblige à porter une capote pendant tout rapport sexuel.

Je lui ai parlé d'un tout autre. Ce n'est pas pour autant qu'il a changé de point de vue. Tant que je parle de Dieu, il sera convaincu que c'est celui qu'il connait. Et tant que je parle de Dieu, un réaction allergénique puissante prend le contrôle de son cerveau et lui fait rabâcher, sans passer par la case réflexion, PAS BON! PAS BON! DANGER! (Excuse-moi DeMars, pour le coup je t'utilise en caricature)

Oui, c'est un danger de changer. De vouloir modifier sa vision. Tant pis pour ceux qui n'ont pas envie. C'est cela que je dis quand vous, les sceptiques, les agnostiques, les athées, les croyants, les fanatiques, les religieux, vous vous êtes punis. Une porte s'est refermée, que vous ne voulez plus rouvrir. Derrière, tout à changé.


Dieu est-il donc vraiment l'homme ?

Pourquoi en douter?
N'a-t-Il pas dit : fait le bien autour de toi et c'est à Moi que tu le feras?
N'a-t-Il pas dit : je suis en Lui et Lui en moi. Vous êtes en moi et moi en vous?
N'a-t-il pas dit : prie dans le secret de ton coeur, mais ne Lui demande rien car Il sait déjà tes peines.

Dieu est l'Homme.
Je tiens à la majuscule, parce que l'homme dans sa condition actuelle se complais dans la fange de ses capacités.

Mais dire cela, c'est comme ne rien dire. Comprends le problème : si j'affirme que Dieu n'est que l'Homme, cela voudrait dire que j'en ai une vision egocentrique. C'est pour cela qu'on dira en premier que Dieu est Tout. Mais si je dis cela, je ne dis rien non plus. La plupart des gens qui connaissent Dieu n'en parle donc tout simplement pas. Les seuls qui causent sans arrêt parlent d'éthique religieuse, de Dieu comme d'un don du ciel donné aux élus, aux toges blanches...

C'est pour cela que je dis : Dieu est l'Homme. Ceci est une des portes qui mène à Lui. Dieu n'est pas l'Homme. Il ne se suffit pas à cette définition.


Il y a des sites Web qui donnent un résumé de ce livre, qui expliquent un peu plus en détail ce qu'il dit ?

Je n'en connais pas. Je peux te copier quelques passages. Tu as le choix entre :
- La nécessité spirituelle de dépasser la dualité.
- La quasi absence de mention au péché dans le discours de Jésus.
- La quasi absence de mention au repentir dans le discours de Jésus.

Message édité le 31-05-2007 à 08:30:51 par Trotmany
Atil
   Posté le 31-05-2007 à 12:27:04   

Je viens de voir à la librairie qu'il y avait un nouveau livre sur jésus. (je n'ai pas retenu le titre). La thèse de l'auteur est que Jésus était un révolté voulant chasser les Romains.
DeMars
   Posté le 31-05-2007 à 20:51:37   

Moi, ce que j'aime de Jésus, c'est son message de paix et d'amour du prochain. Le reste, je vous le donne.

P.S.: je ne crois pas plus au diable.
PizzaMan
   Posté le 31-05-2007 à 22:50:51   

Je chie sur ceux qui disent «je crois» et je chie davantage sur ceux qui disent «je ne crois pas». Les deux sont emprisonnés dans une croyance.

Je préfèrent ceux qui disent «je ne sais pas».
PizzaMan
   Posté le 01-06-2007 à 00:36:58   

«simplement pas très ouverts, pas assez pour se remettre en cause, ils sont
à un stade d'évolution que nous avons peut-être nous-mêmes
connu, et nous ne savons pas encore tous les stades que nous
avons encore à expérimenter»...

<o> Tu fais aussi partie de ces gens «qui ne savent pas se remettre en cause». Et tu n'as pas la moindre idée de «ton stade d'évolution», puisque tu juges ces gens de très haut, comme si tu étais un parvenu.


«La route est longue»...

<o> On ne peut pas connaitre la longueur de la route, tant qu'on ne l'a pas parcourue jusqu'au bout. C'est pour tout le monde, sans exception.
Atil
   Posté le 01-06-2007 à 08:04:42   

"Les deux catégories citées se mettent des oeillères... Mais finalement, l'essentiel est qu'elles soient heureuses non ?"

>>>>>Croire peut rendre heureux ... mais le jour ou des indices infirment nos croyances alors ca nous rend malheureux.
Par contre se contenter de reconnaitre son ignorance permet d'éviter cette déception.



"que quelqu'un croit que Jésus n'a jamais existé, alors même que les historiens romains ont noté son passage, "

>>>>>L'ennui justement c'est que les romains n'ont laissé aucun texte historique authentique parlant de Jésus. Alors qu'ils ont parlé de Jean Baptiste ... et peut-être même de Jacques le juste (frêre de Jésus).



"C'est comme les homos, du moment qu'ils ne me sautent pas dessus pour m'embrasser je leur dis continuez... D'autant que ça nous libère d'avantage de femmes quand nous sommes en chasse !!!"

>>>>Par contre c'est moins pratique de dire "continuez" aux lesbiennes

------------------------------


" Tu fais aussi partie de ces gens «qui ne savent pas se remettre en cause». Et tu n'as pas la moindre idée de «ton stade d'évolution», puisque tu juges ces gens de très haut, comme si tu étais un parvenu."

>>>>> Et quand tu dis ca, tu te sens à un niveau supérieur à Quark en ciel ou pas ?



"On ne peut pas connaitre la longueur de la route, tant qu'on ne l'a pas parcourue jusqu'au bout. C'est pour tout le monde, sans exception."

>>>>>A moins de rencontrer des sages qui ont déja parcouru la route, peut-être.
Et ils nous disent : "Vous allez la-bas ? Moi j'en reviens ! Allez, courage : plus que 5000000 km à parcourir !"

-----------------


"Personne ne l'a parcourue jusqu'au bout... Sauf les gens qui n'en sont jamais revenus, paix à leurs âmes"

>>>>>Qui sait s'ils ne reviennent pas ?
Quand des gens parlent en vacances trés loin, ils reviennent ensuite pour dire ce qu'ils ont vu et appris ... et ils emmerdent tous leurs amis en ls obligeant à regerder leurs albums photos.



"Moi j'aime bien, quand je marche en montagne et que j'ai l'impression de la voir reculer me retourner un peu pour regarder la plaine et les vaches. C'est vivifiant..."

>>>>>Et c'est alors que tu prends les vaches de haut
PizzaMan
   Posté le 01-06-2007 à 11:59:09   

Ce n'est pas difficile d'être supérieur à Quark' !
PizzaMan
   Posté le 01-06-2007 à 23:33:14   

Ça ne te ferait pas de mal de briller un peu, cela dit.
PizzaMan
   Posté le 02-06-2007 à 05:38:15   

Avoir une belle voiture, une belle femme et une belle maison, non mais quel crime !!! Vilains pas bôs méchants, houla ! Ça ne plaît pas aux envieux, tout ça.
Atil
   Posté le 02-06-2007 à 09:33:55   

Moi quand j'ai dragué avec Betty c'était juste parceque c'était un canon et que je me disais que tous mes copains seraient envieux.
PizzaMan
   Posté le 02-06-2007 à 14:07:16   

Et depuis tu t'intéresses aux moches pour montrer le niveau de supériorité que tu as atteint ?
Atil
   Posté le 02-06-2007 à 16:13:49   

Je m'intéresse aux moches car je fais de la projection.
PizzaMan
   Posté le 02-06-2007 à 16:56:57   

Parce que l'amour de ta vie était une moche ?
Atil
   Posté le 02-06-2007 à 18:29:13   

J'ai toujours tendance à me retourner sur les femmes qui ressemblent à la dernière que j'ai aimée.
PizzaMan
   Posté le 02-06-2007 à 18:44:37   

Pourtant, Brigitte c'était quand même loin de celle qui précédait, physiquement et psychologiquement.
Atil
   Posté le 02-06-2007 à 19:19:15   

Je n'ai pâs dit que je retombait toujours amoureux du même type de femme que celle d'avant. En fait je m'intéresse aux femmes qui ressemblent à la dernière que j'ai aimée ... mais quand je finis par tomber amoureux c'est souvent d'une femme qui n'a rien à voir avec la denière (ou même qui en est l'inverse).
PizzaMan
   Posté le 02-06-2007 à 19:32:03   

Bon, en ce qui me concerne toutes les chattes se ressemblent. Sinon, toutes les gonzesses se ressemblent sur un point : elles te largue toujours quand elles veulent du nouveau. Du coup, je ne comprends pas les lopedus qui se ramassent aux soins psychologiques parce qu'ils se font jeter par une morue...

Tu rencontres une nanas, tu rigoles, elle rigole, elle écarte les cuisses, tu lui bourres la chatte, elle te largue, et tu en rencontres une autre. Ainsi de suite.
Atil
   Posté le 02-06-2007 à 20:51:11   

Et alors on se fait chier.
On ne peut pas passer toute sa vie dans la superficialité.
La vraie vie ce n'est pas comme le Net.
Et si on veut des enfants c'est encore pire : ils ont besoin de stabilité.
PizzaMan
   Posté le 02-06-2007 à 21:04:02   

Et quand je me fais chier, je lis, je fais du sport, je laisse le temps passer pour un bref moment, je fais le plein, et alors je peux m'engager à nouveau avec une nana. C'est la vie.

Mais comment peut-on donner de la stabilité aux enfants, alors que la nature elle-même est instable ? Tout est instabilité.

Message édité le 02-06-2007 à 21:05:26 par PizzaMan
Atil
   Posté le 02-06-2007 à 21:46:46   

C'est l'excuse que nous nous sommes inventée pour justifier notre instabilité actuelle d'occidentaux. Mais ce n'est qu'une affaire d'excés d'émotions. Nous sommes maladivement instables car nous sommes maladivement émotifs.
Trotmany
   Posté le 02-06-2007 à 21:58:41   

Emotifs ou pulsionnels?
Atil
   Posté le 03-06-2007 à 11:38:03   

Tu veux parler des pulsions instinctives par opposition aux pulsions émotionnelles ?
Trotmany
   Posté le 03-06-2007 à 17:19:53   

Une telle distinction pour le moment n'est pas nécessaire. Bien que personnellement je la trouve plus adéquate...

L'émotion est une réponse qui comporte des manifestations expressives, physiologiques et subjectives . Elle s'accompagnent généralement de tendances d'action caractéristiques et s'inscrivent en rupture de continuité par rapport aux processus qui étaient en cours chez le sujet au moment de leur apparition.

Tandis que les pulsions sont tendus vers une recherche constante de la satisfaction. A la fin de sa vie, Freud distingue les pulsions en deux catégories : les pulsions de vie et pulsions de mort. Il affirme par là que la survie de l'espèce est parfois antagoniste à la survie de l'individu.
PizzaMan
   Posté le 03-06-2007 à 17:30:19   

Je n'arrive pas à bien saisir la pertinence de citer Freud, alors que l'on sait pourtant que toute son oeuvre est actuellement remise en cause.

Ça me dépasse...
Trotmany
   Posté le 03-06-2007 à 18:49:33   

Elle est remise en cause parce qu'elle n'appartient pas à l'aura que tente de se donner, en ce moment, les sciences sociales. Effectivement, Freud ne pourra jamais appartenir à aucune science, pure, dure, empirique .

Freud, c'est pas Piaget. Il interprète, il scrute le ressenti, il provoque les érections et fourre ses mains dans la cyprine. Ca ne plait pas à tout le monde. Le Monde, il veut savoir. Savoir pourquoi il bande. Savoir s'il rebandera un jour. Savoir si on peut le sauver. Le savoir, c'est être sûr. Le savoir, c'est rassurant.

Certaines aires cérébrales tel que l'hypothalamus et le système limbique sont associées aux émotions. Ces régions sont dites inférieures et sont sous le contrôle de régions dites supérieures tel que le cortex cérébral.
Ouaaaaa! Putain! C'est super!... J'vais pouvoir sauver tous les dépressifs du monde.
Trotmany
   Posté le 03-06-2007 à 18:59:11   

Ceux qui ne se trompent jamais, eux, ils sont fortiches! Ce sont presque des dieux. Ils peuvent te prédire un tas de choses forts utiles, comme le sexe de ton enfant, l'endroit précis où va apparaitre ta tumeur, le temps qu'il fera la semaine, les émanations de CO2 dans 10 ans, le diamètre du trou de la couche d'ozone. C'est super rassurant de savoir qu'ils ont toujours raison. Ils maitrisent. Il ne reste plus qu'à suivre.

Les forts, ils savent que le Monde est le fruit de l'évolution. Ils peuvent même le prouver empiriquement. Les forts, ils s'en foutent d'interpréter l'évolution, de savoir pourquoi. C'est comme ca, qu'ils disent, et ils ont toujours raison.

Un jour, tu as posé la question de savoir à quoi servent les croyances.

Ce soir, je te répondrais que les croyances, ça sert à ne jamais être satisfaisant. Perso, vivre ma vie ne me satisfait pas. Je dois chercher ce qu'est "ma vie". Je dois chercher pourquoi elle existe. Je dois chercher comment faire pour la remplir. Je dois chercher son sens. Ces recherches, elles ont une putain d'importance pour moi. Elles sont plus importantes que savoir si demain il pleuvra sur ma tronche de pèquenot. Ou de savoir si je suis toujours à la mode en portant un bermuda rose.

C'est ce que t'offrent les croyances, la possibilité de chercher un truc que personne ne sait. Rha! Ca tue ça! Un truc que personne ne sait! Un trésor qui m'appartient et que je suis seul à disposer. Un magot que je peux dilapider comme bon me semble, sans me tracasser. Un pain que je peux partager à l'infini pour rassasier tous ceux qui en veulent.

La croyance, c'est pour les nuls, les ratés, les arriérés. Et, évidemment, j'ai décidé d'être un faible. J'ai décidé de ne pas être satisfait, de toujours chercher plus loin dans mes sentiments. J'ai décidé que croire était plus important que savoir. Jusque là, ça roule. Les forts n’ont pas compris qu’en même temps, j’apprends ce qu’ils savent. Ils vont tirer une sale tronche quand ils comprendront que je les ai doublés.

Message édité le 03-06-2007 à 19:02:12 par Trotmany
Atil
   Posté le 04-06-2007 à 12:30:10   

Il a été démontré que Freu-d était un fraudeur.
On a retrouvé toutes les personnes qu'il prétendait avoir guéries (du moins celles qui étaient encore vivantes) et on s'est rendu compte qu'aucune n'avait été guéries.

Il y a aussi les comptes-rendus qu'il a écrit de ses analyses d'enfants (le cas du petit Hans par exemple). En les lisant on voit trés clairement qu'il fait pression sur les enfants pour les obliger à aller dns le sens de ses interprétations.

Aucune des théories de Freud n'a jamais été prouvée.
Donc ce qu'il a créé n'est pas une science mais une religion, basée sur la croyance.

Pire même : la science actuelle a même invalidé pratiquement toutes ss théories.

Il n'y a plus que quelques rares pays dans le monde (surtout la France) ou il est encore pris au sérieux.
ZaQieL
   Posté le 04-06-2007 à 16:16:26   

Atil a écrit :

Il a été démontré que Freu-d était un fraudeur.
On a retrouvé toutes les personnes qu'il prétendait avoir guéries (du moins celles qui étaient encore vivantes) et on s'est rendu compte qu'aucune n'avait été guéries.

Il y a aussi les comptes-rendus qu'il a écrit de ses analyses d'enfants (le cas du petit Hans par exemple). En les lisant on voit trés clairement qu'il fait pression sur les enfants pour les obliger à aller dns le sens de ses interprétations.

Aucune des théories de Freud n'a jamais été prouvée.
Donc ce qu'il a créé n'est pas une science mais une religion, basée sur la croyance.

Pire même : la science actuelle a même invalidé pratiquement toutes ss théories.

Il n'y a plus que quelques rares pays dans le monde (surtout la France) ou il est encore pris au sérieux.


Au Canada la psychanalyse n'est pas considérée comme une science, effectivement.

Et quand tu sais que Freud était cocaïnomane et que toute sa théorie est en fait, une conséquence de cette dépendance...

ZaQieL
Atil
   Posté le 04-06-2007 à 17:48:15   

La théorie de l'inconscient existait bien avant lui , en Inde. Il est probable qu'il en a eu connaissance grace à la colonisation anglaise de l'Inde, et qu'il l'a adoptée en lui rajoutant ses inventions personnelles sur les complexes.
Trotmany
   Posté le 04-06-2007 à 19:05:38   

Citation :

Aucune des théories de Freud n'a jamais été prouvée.
Donc ce qu'il a créé n'est pas une science mais une religion, basée sur la croyance.


Oui.

La science n'est science que jusqu'au moment où on rend caduque la théorie interprétative en vigueur et qu'elle est remodelée. La science sait donc que sa vision des choses n'est pas une certitude. C'est peut-être le seul élément qui la sépare de la religion.

Citation :

Pire même : la science actuelle a même invalidé pratiquement toutes ss théories.


Contesté ou invalidé? L'inconscient est une réalité empirique.

Freud était fana d'ésotérisme, comme Jung. Certains chimistes sont fana d'alchimie et commencent à trouver des données qui vont en faveur de la fusion froide. C'est une croyance pour le moment. Jusqu'au jour où elle sera prouvée. Encore que... Des expériences de fusion froide ont été reproduites avec succès. Est-ce que l'on en parle? Ces chimistes ont-ils tort de continuer leurs recherches sur base de croyances?

Je commence à penser que la science n'est autre qu'un outil à valider ou invalider des croyances. Jusqu'au jour où d'autres croyances sont plus aptes à expliquer nos perceptions du monde. Et on les transforme. La science, un outil, pas un but en soi.

Message édité le 04-06-2007 à 19:09:08 par Trotmany
Atil
   Posté le 05-06-2007 à 07:42:40   

"La science n'est science que jusqu'au moment où on rend caduque la théorie interprétative en vigueur et qu'elle est remodelée. La science sait donc que sa vision des choses n'est pas une certitude. C'est peut-être le seul élément qui la sépare de la religion."

>>>>>>Mais une croyance c'est pire qu'une science. Car la science comporte certainbs éléments de certitudes qui sont prouvés (ex : 1+1=2) , alors que la il s'agit de croyances totalement arbitraires.



"Contesté ou invalidé? L'inconscient est une réalité empirique."

>>>>>>J'ai bien dit INVALIDÉ.
La science actuelle étudie l'inconscient (qui n'est pas une découverte de Freud) et elle voit que celui-ci n'a rien à voir à ce que racontait Freud.



"Freud était fana d'ésotérisme, comme Jung. "

>>>>>>Ce sont les médecins qui devraient soigner les hommes, pas les ésotéristes.



"Certains chimistes sont fana d'alchimie et commencent à trouver des données qui vont en faveur de la fusion froide. C'est une croyance pour le moment. Jusqu'au jour où elle sera prouvée. Encore que... Des expériences de fusion froide ont été reproduites avec succès. Est-ce que l'on en parle? Ces chimistes ont-ils tort de continuer leurs recherches sur base de croyances?"

>>>>>>>>Sauf que ce sont la des expériences scientifiques.
Et qu'elles n'ont rien à voir avec les doctrines alchimiques.
Alors que la psychanalyse prétend soigner des hommes alors qu'elle ne repose que sur des dogmes jamais prouvés.


"Je commence à penser que la science n'est autre qu'un outil à valider ou invalider des croyances. "

>>>>>Non, c'est un outil à valider ou invalider des THÉORIES.
La différence entre une théorie et une croyance c'est que l'auteur d'une croyance prétend avoir raison et fait tout son possible pour empécher qu'on l'invalide. (il la rend irréfutable comme dirait Popper). Hors c'est ce que font les freudiens : ils utilisent leurs propres dogmes pour discréditer ceux qui démontrent la fausseté du freudisme.
Ils ne cherchent donc pas la vérité mais la survie de leurs dogmes.
Trotmany
   Posté le 08-06-2007 à 10:12:15   

Je voulais faire comprendre la nécessité de plus en plus pressante en Occident d'une psychologie spirituelle qui ne soit basée ni sur une dogmatique, ni sur le pathologique...

Je m'y suis mal pris.
Atil
   Posté le 08-06-2007 à 10:19:24   

On ne peut pas parler de spiritualité sans parler de pathologie, puisque, en fin de compte, ce que font les maitres spirituels c'est essayer de nous guérir de nos pathologies mentales.
Trotmany
   Posté le 08-06-2007 à 11:29:06   

Oui Atil, mais la psychologie ne voit que les pathologies et les dépasse de moins en moins pour proposer un chemin vers la réalisation de soi. C'est ce qu'on appelle l'ère de la psychologie cognitive.

On traite la psyché comme un corps distinct. Comme si ça n'était qu'une structure mentale qui permet le raisonnement. Et pourtant, on sait depuis des lustres que l'être humain est un ensemble homogène dont les parties sont interdépendantes.

Je suis persuadé qu'une grande partie de la clientèle des psychologues ont besoin de quelque chose de plus subtil. Je suis persuadé qu'on ne retrouve pas le gout à la vie en se posant raisonnablement et de manière critique, objective sur les évènements de sa vie pour les rationaliser.

Ca peut marcher jusqu'à un certain point, mais après, me semble-t-il, il faut le dépasser. Autrement, on se retrouve à ressasser tous ses souvenirs jusqu'à la fin des temps.
Atil
   Posté le 08-06-2007 à 12:07:34   

Qui a-t-il au-dela ?
zorglub
   Posté le 08-06-2007 à 13:31:07   

Personne n'a l'au-delà
zorglub
   Posté le 08-06-2007 à 18:52:44   

Et si Dieu était une femme?
Trotmany
   Posté le 08-06-2007 à 19:29:00   

Au-delà de la pathologie, il y a la réalisation de soi.

Le principe divin, comme je l'entends, n'a pas de genre. Ceci dit, on pourrait lui parler comme à une mère si ça aide à se sentir plus proche.
zorglub
   Posté le 08-06-2007 à 20:58:46   

Je trouve que par la logique de la nature où la femme enfante, je ne voit pas pourquoi cela serait le contraire et donc un homme qui enfante de sa création.
Trotmany
   Posté le 08-06-2007 à 21:17:31   

MMMh... La femme enfante, mais auparavant l'homme a dû déposer en elle son sperme. Ce qui a contribué à la représentation largement masculine de la divinité.

Littéralement, dans la Genèse, Il ne met pas au monde l'humanité. Son souffle met en mouvement la terre rouge. Tu peux alors interpréter le souffle comme le pôle masculin et la terre comme le pôle féminin.

Personnellement, je suis pour le dépassement de toutes ces notions grâce à la trinité. On peut alors mettre le père, la mère et le fils dans des relations d'équivalence. Je ne comprends d'ailleurs pas comment, théoriquement, ca pourrait être autrement.

Message édité le 08-06-2007 à 21:21:57 par Trotmany
zorglub
   Posté le 08-06-2007 à 21:25:57   

Trotmany a écrit :

MMMh... La femme enfante, mais auparavant l'homme a dû déposer en elle son sperme. Ce qui a contribué à la représentation largement masculine de la divinité. .


Ben j'viens tout juste d'apprendre le mot de parthogénèse, si je me rappelle bien... Un peu une immaculée conception si on veut


Trotmany a écrit :


Littéralement, dans la Genèse, Il ne met pas au monde l'humanité. Son souffle met en mouvement la terre rouge. Tu peux alors interpréter le souffle comme le pôle masculin et la terre comme le pôle féminin. .


Aussi



Trotmany a écrit :



Personnellement, je suis pour le dépassement de toutes ces notions grâce à la trinité. On peut alors mettre le père, la mère et le fils dans des relations d'équivalence. Je ne comprends d'ailleurs pas comment, théoriquement, ca pourrait être autrement.


Je ne comprends pas ce qu'est le père, la mère et le fils au sens symbolique.
Atil
   Posté le 08-06-2007 à 21:28:41   

Le saint-esprit serait donc la femme de Dieu ?
Trotmany
   Posté le 08-06-2007 à 21:41:25   

La parténogenèse, oui.
Je me souviens d'ailleurs d'un cas particulier dans l'espèce humaine où une jeune femme, semble-t-il a accouché d'un monstre : l'anencéphale de Vichy. Le père serait un singe. Ce qui a fait dire à certains que la femme s'est auto-fécondée.

Je ne comprends pas ce qu'est le père, la mère et le fils au sens symbolique.

Enormément de choses et rien en même temps. C'est-à-dire qu'on peut interpréter cela de mille façon ; surtout si on fait des analogies avec d'autres triades.
zorglub
   Posté le 08-06-2007 à 21:51:56   

Trotmany a écrit :

La parténogenèse, oui..


Oui c'est mieux





Trotmany a écrit :


surtout si on fait des analogies avec d'autres triades.


Vas-y, si tu veux bien, je te lis...
PizzaMan
   Posté le 09-06-2007 à 02:10:27   

Vous vous rendez compte ! Ce sujet concerne les femmes et pourtant, aucune femme intelligente ne s'est présentée ici afin de contre-argumenter.

On pourrait l'interpréter de différentes manières.
zorglub
   Posté le 09-06-2007 à 10:52:58   

Ben j'suis belle, grande, forte et intelligente et je ne me sent pas le besoin de contre-argumenter.

A quoi cela sert-il de dénoncer tes propos alors que l'utilité des femmes est factuellement déjà prouvé.





Ps: ah oui, c'est vrai que j'ai oublié que tu m'ignorais...
Trotmany
   Posté le 09-06-2007 à 11:16:29   

Il y a 'Elohîm et YHVH

YHVH est le nom sacré que les Hébreux ne prononcent jamais.
'Elohîm, Dieu. C'est le nom divin exprimant le parfait. C'est le nom pluriel de 'Êleh : "ceux-là" dont tu peux voir qu'il est déjà un pluriel. On pourrait le traduire par "Les ceux-là de ceux-là". Mais quand ce nom conjugue le verbe Bârâ' : créer, celui-ci est mit au singulier.

Il ne s'agit pas de deux dieux, mais de deux Noms divins qui ne rompent en rien l'unité divine. 'Elohîm rend compte de l'Accompli divin se faisant inaccompli. YHVH rend compte du germe divin qui se constitue principe, semence de la création.


...Un début d'amorçage.
Atil
   Posté le 09-06-2007 à 12:11:05   

A l'origine YHWH / Yaweh / Yaou et Eloah / Elhoïm / El ("El" = "Dieu" ) étaient deux dieux différents. Yaweh était un dieu de l'orage, l'équivalent du Jupiter romain. Et El était un vieux dieu, l'équivalent de Saturne, père de Jupiter. Au dessus il y avait un dieu encore plus ancien : El-Elyon, le "trés haut" qui était le père de tous les dieux. Dans certains passages de l'ancien testament on retrouve parfois des allusions à Yahwé qui n'est que l'un des fils du dieu El-Elyon.
Trotmany
   Posté le 09-06-2007 à 12:26:13   

Je serais intéressé pour connaitre ces passages. Prends ton temps, j'imagine que ca te demandera un peu de recherche.

Ce que j'ai mis ne fait pas partie de l'histoire, mais bien de l'interprétation juive.
zorglub
   Posté le 09-06-2007 à 12:28:33   

Quel rapport avec la trinité si ce n'est que deux ensemble font un troisième?
Atil
   Posté le 09-06-2007 à 13:27:52   

Chez les Égyptiens, il les dieux étaient groupés par trinités : Un dieu, une déesse et leur enfant.
Mais il existe da'utres types de trinités, solon les peuples.
Atil
   Posté le 09-06-2007 à 13:29:31   

Pour Trott' :

Dans le Deutéronome 32, il est écrit :
... 8 Quand le Très-haut (Élyôn) partageait l’héritage aux nations, quand il séparait les fils d’Adam, il établit les limites des peuples selon le nombre des enfants d’Israël (ou plutôt : "des fils de Dieu" dans la version originale retrouvée à Qmran et dans la Septante).
9 Car la portion de l’Éternel (yahweh), c’est son peuple ; Jacob est la part de son héritage.
10 Il le trouva dans un pays désert et dans la désolation des hurlements d’une solitude ; il le conduisit çà et là ; il prit soin de lui, il le garda comme la prunelle de son œil.
11 Comme l’aigle éveille son nid, plane au-dessus de ses petits, étend ses ailes, les prend, les porte sur ses plumes,
12 L’Éternel (yahweh) seul l’a conduit, et il n’y a point eu avec lui de dieu étranger.
13 Il l’a fait passer à cheval sur les lieux hauts de la terre ; et il a mangé le produit des champs, et il lui a fait sucer le miel du rocher, et l’huile du roc dur ;
14 Le caillé des vaches, et le lait des brebis, et la graisse des agneaux et des béliers de la race de Basan, et des boucs, avec la fine graisse du froment ; et tu as bu le vin pur, le sang du raisin.
15 Mais Jeshurun s’est engraissé, et a regimbé : tu es devenu gras, gros, replet ; et il a abandonné le Dieu (Eloha) qui l’a fait, et il a méprisé le Rocher de son salut.
16 Ils l’ont ému à jalousie par des dieux étrangers ; ils l’ont provoqué à colère par des abominations.
17 Ils ont sacrifié aux démons qui ne sont point Dieu (Eloha), à des dieux qu’ils ne connaissaient pas, dieux nouveaux, venus depuis peu, que vos pères n’ont pas révérés....
----->
Selon la version la plus ancienne du texte du Deutéronome 32, (la version grecque et celle trouvée à Qumran), Yahweh le dieu national d’Israël, est présenté comme faisant partie de l’assemblée des dieux (ou des fils de Dieu) présidée par El-Elyôn (Dieu trés haut), le premier des dieux et leur père à tous. Yahweh n’est donc qu’une divinité parmi d’autres. El-Elyôn, le dieu suprême, préside au partage des peuples du monde entre les différentes divinités, ses fils, et c’est à Yahweh / Elhoa que revient Israël, appelé ici Jacob. Yahweh / Elhoa se montre d'ailleurs trés jaloux et n'accepte pas que les autres dieux (dieux étrangers) viennent intervenir dans sa gouvernance d'Israël.

Dans le Psaume 82 (Psaume d’Asaph), il est écrit :
1 Dieu (El) se tient dans l’assemblée des dieux (Elohims) ; il juge au milieu des dieux (Elohims).
2 Jusques à quand jugerez-vous injustement et ferez-vous acception de la personne des méchants ?
3 Faites droit au misérable et à l’orphelin, faites justice à l’affligé et au nécessiteux.
4 Délivrez le misérable et le pauvre, sauvez-le de la main des méchants.
5 Ils ne connaissent ni ne comprennent, ils marchent dans les ténèbres : tous les fondements de la terre chancellent.
6 Moi j’ai dit : Vous êtes des dieux, et vous êtes tous fils du Très haut (Elyôn).
7 Mais vous mourrez comme un homme, et vous tomberez comme un prince quelconque.
8 Lève-toi, ô Dieu ! Juge la terre ; car toutes les nations sont à toi....
----->
Ici aussi Yahweh / El ne préside pas l'assemblée divine, comme on le soutient ordinairement. Il est un des fils d'Elyôn et un membre de l'assemblée, qui accuse les autres dieux (Elhohims) d'abus de leur charge (incurie dans le gouvernement du monde) et annonce leur chute. Ces versets sont le "mythe" permettant d'expliquer pourquoi c'est Yahweh / El qui est devenu le seul gouvernant du monde par la suite.
Le psaume 89-7 exprime la même chose :
...Dieu est extrêmement redoutable dans l’assemblée des dieux, et terrible au milieu de tous ceux qui l’entourent..

http://www.webzinemaker.com/admi/m9/page.php3?num_web=18063&rubr=4&id=210359
Trotmany
   Posté le 09-06-2007 à 14:19:58   

Et si nous ouvrions un autre sujet sur ce thème? Je te laisse faire Atil pour transférer les derniers posts vers ce nouveau topic.
Vieil Homme
   Posté le 09-06-2007 à 16:12:51   

zorglub a écrit :

Ben j'suis belle, grande, forte et intelligente et je ne me sent pas le besoin de contre-argumenter.

A quoi cela sert-il de dénoncer tes propos alors que l'utilité des femmes est factuellement déjà prouvé.





Ps: ah oui, c'est vrai que j'ai oublié que tu m'ignorais...


Yaha !

Ben mon épouse aussi est belle, intelligente... bon petite, ok !

Je lui achète de temps en temps des gants Mapa et "Basta" !

Hahahahahah ! C'est quoi le sujet ? je n'ai lu que la dernière page !


PizzaMan
   Posté le 09-06-2007 à 16:21:49   

En dehors de la fonction reproductrice, il est démontrable que les femmes ne sont d'aucune utilité. Elles sont accessoirement utile que dans la mesure où elles ont un tel rôle afin que tous les hommes ne deviennent pas tous pédés, et qu'ils ne passent pas trop leur temps à se taper sur la gueule quand les nénettes sont là pour les calmer.

Mais certaines peuvent aussi les manipuler afin qu'ils se tapent sur la gueule, par-contre.
Atil
   Posté le 09-06-2007 à 16:58:56   

Chez les peuples primitifs ce sont les femmes qui se tapent pratiquement tout le boulot.
Elles élèvent les enfants, et cueillent les plantes comestibles qui constituent les 3 dixièmes des repas. Quand aux hommes, ils vont à la chasse parcque c'est plus prestigieux et plus amusant. Mais ce qu'ils rapportent ne couvre que 10% des besoins en nourriture.
PizzaMan
   Posté le 09-06-2007 à 18:12:06   

Si les gonzesses primitives se tapent tout le boulot, c'est bien parce que les hommes le permettent. Ça revient donc au même.
zorglub
   Posté le 10-06-2007 à 00:10:36   

heum heum

voir les gonzesses comme des trous et comme des mères????


T'as deja fait une psy pizza?


Non mais franchement


J'ai vecu et battu cela ma vie entiere donc dit y avoir une raison...

Oui, pizza, je t'aime, delivres moi de ton secret, Malheur sur moi, O que dois-je apprendre de toi que je n'ai appris de mon père, mon frêre et ce monde qui a peur des femmes...

Message édité le 10-06-2007 à 00:11:13 par zorglub
Atil
   Posté le 10-06-2007 à 11:26:50   

"ui, pizza, je t'aime, delivres moi de ton secret,"

>>>>>>Le secret de Pizza' c'est qu'il n'aime pas Zorglub et qu'il a envie de l'emmerder.
Trotmany
   Posté le 10-06-2007 à 12:09:02   

Les secrets de la pizza, c'est de mouiller la pâte avec un peu de schwepps. Ca permet de la faire monter, afin qu'elle soit plus moelleuse et onctueuse. Pour la rendre croustillante et savoureuse, n'ayez pas peur d'y verser l'huile d'olive avec générosité. Ce n'est pas bénéfique pour la ligne, mais qu'est-ce que c'est bon! Aussi, pour les étourdis, n'utilisez pas de mozzarella fraiche! Il en sort beaucoup trop de lait, qui risque de ramollir considérablement votre pizza.
zorglub
   Posté le 10-06-2007 à 13:37:02   

Bon ben j'm'en vais alors si Pizza m'aime pas et veut m'emmerder

comme ça, il ne m'emmerdera pas
Atil
   Posté le 10-06-2007 à 16:26:36   

Si on laissait faire Pizza', il ferait partir tout le monde.
PizzaMan
   Posté le 10-06-2007 à 17:07:45   

Non pas tout le monde. Un ou deux, pas davantage